Pierre Croce
La nouvelle génération a besoin d'écran... et c'est Pierre le premier humoriste (non je ne parle pas du film avec plusieurs ''r'') qui nous l'apporte sur scène ! Il nous prépare des powerpoints plutôt drôles !
Dommage que ses sketchs suivants étaient un peu moins bon (même s'ils restaient très bons), mais c'est un humour qui demande du travail. Eh oui, chers parents, écran et travail sont conciliables !
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Papa, rat, zoo -> paparazzi
J'ai appris aujourd'hui, qu'une personne me suivait régulièrement sur ce blog sans me l'avoir jamais dit en "vrai", alors qu'on parle quelques fois ensemble (oui, parce qu'on peut aussi parler nous deux dans notre coin, mais cela ne nous intéresse pas pour l'histoire...) dans la semaine; et cela m'a donné un sentiment à la fois étrange et jouissif : mes fantaisies peuvent plaire ! (difficile à croire, et pourtant...).
Et en parlant de ces gens qui vous suivent partout, un petit coucou aux paparazzi ! S'il vous plaît ne vous lancez pas dans ce travail, préférez le travail de photographe qui est plus noble ou alors faites des photos originales (ne vous faites pas passer le message, car c'est vraiment étrange ces vidéos où on voit trente personnes à la sortie d'un bâtiment; vous pensez vraiment que votre photo sera bien meilleure que celle de l'appareil qui se trouvait à côté à ce moment-là ?).
Mais le plus important dans tout ça (c'est la dolce vita ! qui est aussi le nom du film de 1960, où un personnage qui est photographe a le nom de Paparazzo, ce qui donnera le nom pour désigner ce type de personnes), c'est que le singulier de paparazzi (qui ne prend jamais de ''s'') est ... (roulement de tambour)... paparazzo ! Tout comme le pluriel de scénario devrait être scenarii. Mais évidemment ces deux termes italiens peuvent être francisés, et alors on se retrouvera avec des scénarios remplis de paparazzis !
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Par carte
Non, aujourd'hui je ne pousserais pas de coup de gueule sur les cartes à foison qui nous permettent au mieux d'économiser quelques centimes par jour ! Mais, j'en pousserais un contre cette société qui délègue tout ce qu'elle pourrait faire d'elle même à des systèmes informatiques (et ce n'est pas en contradiction avec le début de la blognote...). En effet, aujourd'hui au supermarché, c'est bien la première fois que ma carte bleue a su avant moi quel prix j'avais payé pour mes achats ! En effet, plus distrait par le fait de ranger mes achats que par écouter la voix morne de la caissière, j'ai tout de suite indiqué que je payerais par carte, et ce, sans regarder préalablement le montant (je fais toujours attention d'habitude). Ce qui pousse à me questionner, est-ce bien raisonnable d'avoir des cartes qui ne nous permettent pas d'avoir conscience de nos réelles capacités ? Ne sont-elles pas la cause de beaucoup d'endettements ?
Ps : cela n'a rien à voir, mais je vous remercie d'avoir choisi le bleu, ma couleur préférée (ainsi, mes achats sont -presque- une partie de plaisir).