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écriture

  • Je dors moins et je me porte mieux (006)

    J'avais pour habitude avant (je préciserais un peu plus tard dans la blognote ce que cela signifie dans l'espace-temps) de dormir 7 heures ou 7 heures 30 tous les jours, y compris pendant les vacances, avec une rigueur monastique. Pourquoi je m'inflige cela ? Parce que c'est tellement bon de ressentir la fraîcheur du matin quand tu sors ouvrir les volets, c'est si agréable de pouvoir écrire la nuit alors que les douze coups viennent de retentir. Je trouve le sommeil au-delà de ce tempo régulier, une vraie perte de temps et je ressens beaucoup moins de plaisir pendant ma journée si je venais à me réveiller vers 11h (ce qui a du m'arriver une ou deux fois maximum dans l'année). Mais pourquoi je me mets soudainement à vous raconter comment je passe mes nuits ? Parce que j'ai décidé de donner un changement drastique à ma vie et de la vivre encore plus à cent à l'heure, en essayant le sommeil polyphasique everyman.

    Le sommeil polypha quoi ? Polyphasique, qui se réalise en plusieurs (poly) phases (3h20 de sommeil la nuit et trois sieste de 20' la journée). Ce qui réalise une économie de 2h30 à 3h sur chaque jour, soit 20h à réutiliser librement chaque semaine : c'est juste trop super méga génial ! Cela fait ma troisième soirée que j'expérimente ce sommeil et je dois dire que la phase d'adaptation se passe plutôt bien (contrairement à d'autres qui ont plutôt souffert d'après ce que j'ai lu). Evidemment ce n'est pas à tester si vous n'avez pas de projets à réaliser, si vous êtes accro à la télé ou si vous vous abreuvez de séries téléchargées (légalement bien sûr). Etant donné l’absence d'études à long terme sur le sujet je ne vais prolonger cette expérience que sur une année maximum (je jubile juste à l'idée de tout ce que je vais pouvoir réaliser, lire, voir, expérimenter, découvrir (c'est un synonyme de l'adjectif précédent, non ?), approfondir, partager, améliorer, rêver, etc.).

    Cela va me permettre notamment de reprendre l'écriture, que je n'hésiterais pas à partager de temps en temps par ici. Je trouve l'horaire entre deux heures et trois heures particulièrement indiqué pour être des plus productifs (je projette de faire comme Weber, écrire une nouvelle par jour, même courte; et au bout de quelques semaines en choisir une et l'approfondir).

    Ma plus grande peur en testant le sommeil polyphasique est pour l'adaptation alimentaire (très désordonnée pour le moment) et le sport (que je pratique à plutôt grande intensité et je sais pas si c''est compatible). Les siestes sont également un sujet délicat qui vont peut être faire échouer le projet. En effet, étant à la fac, il ne m'est pas possible de les poser à un horaire fixe qui serait le même pour tous les jours et je ne sais pas si c'est bon de faire varier l'heure de la sieste selon les jours. A suivre donc !

    Alors non je ne suis pas insomniaque, non je ne suis pas fou; j'ai juste envie de vivre de nouvelles expériences chaque jour et je saisis chaque opportunité !

    Mon histoire était à dormir debout, pas vrai ?

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    En courant, j'adore penser, et c'est parfois surréaliste : "C'est une montre qui dit à une autre : "Allez vas-y révèle-lui tes sentiments; ne sois pas en retard pour faire tes avances !".

  • Notita en français

     

    Bonsoir à tous (je me rends compte que c'est assez compliqué de saluer quelqu'un qui ne lira pas cette blognote dans les trente minutes qui suivent... ou si (puissent-elles réellement exister ces personnes-là ?) ? Ce serait tellement plus facile d'avoir un seul mot pour se saluer à n'importe quelle heure de la journée, à toutes personnes sans aucune distinction, etc (bien que cela deviendrait triste...). Ah, ça me revient, voici une salutation que j'aime bien : "Coucou !".

    Je suis en train de me poser quelques questions existentielles comme que faire des espa'mag ? Je vous explique. Je trouve qu'ils ont pris une dimension beaucoup trop grande dans ma vie et dans mon blog (qui est une copie noircie de ma vie ?) et qu'il faudrait faire des changements pour améliorer le tout. Mon premier objectif en commençant la rédaction de l'espa'mag était de me faire plaisir et ça a été plus que réussi à chacune des publications avec comme point culminant, la semaine dernière, la sortie d'un hors-série dont je suis plutôt satisfait. La régularité des publications m'a obligé à rechercher des ressources hispaniques et m'a motivé encore davantage dans ce souhait de faire découvrir ce monde (bourré (désolé pour ce mot assez laid et qui est loin de correspondre aux espagnols, non !) de pépites). Mais (parce qu'il en faut un), je n'avais pas prévu que cela prendrait autant de temps, ou du moins je pensais avoir de l'aide de la part des internautes hispanisants (y-en-a-t-il ? peut-être êtes-vous tous là pour faire des découvertes ?) [como aún no he tenido opiniones, no sé qué pensar de las publicaciones, que os parecen ?]. Si vous voulez me soulager d'un poids et proposez vos coups de coeur, vous savez ce que vous devez faire (me contacter [pour ceux qui ne savaient pas]).

    Voici les multiples solutions que j'ai pensées pour désengorger ce "poids" que cela commençait à représenter et seulement garder le plaisir du partage et (pour tout vous dire) du visionnage, de l'apprentissage (car oui, j'apprends tout en vous enseignant !) :

    *Construire (terme assez bizarre dans l'expression) un site et y mettre tous les espa'mag afin de garder sur le blog des notes un peu moins longues et -j'espère- plus percutantes. Je garderais la section 'Espagnol' du blog pour vous y mettre de temps en temps des nouvelles de mon parcours espagnol (rubrique que j’enlèverais à l'espa'mag qui se voudra plus accessible à tout le monde, qui ne suit pas mes aventures [avec raison, sûrement]).

    *Publier un espa'mag par mois au lieu de toutes les deux semaines, afin de préserver la qualité et ne pas proposer trop souvent des autres productions de mêmes personnes déjà présentées (j'aime bien varier et je suis sûr que vous appréciez tout autant la variation (le changement serait mieux dans ce cas, non ?) que moi).

    *Publier un hors-série tous les trois mois, avec des catégories totalement différentes des "normaux" afin qu'un hors-série puisse être lu sans redites avec un 'espa'mag' "normal" (sans distinction honorifique) ou que ces catégories soient revisitées dans leur utilisation, présentation.

    *Ou alors on garde un rythme plus intense, mais avec la participation de personnes intéressées par cette activité.

    Qu'en pensez-vous ?

    Cela va être une blognote assez longue et très auto-axée (si vous ne voulez pas me connaître ou n'en n'avez pas le temps... vous pouvez encore quitter la page, je ne vous en serais aucunement rancunier).

    J'ai eu ma première année de licence espagnol avec 13.1; ce qui est plutôt correct comme moyenne à l'université, mais qui est loin de mes espérances. A la rentrée de cette première année, je m'étais mis dans la tête d'obtenir la mention très bien (qui s'obtient uniquement sur la troisième année) [et il faut préciser que j'ai eu "assez bien" à mon bac littéraire], sans que ce soit trop ambitieux dans ma tête à l'heure de poser cet objectif. Je doute un peu que ça puisse encore se réaliser (remonter à 16, et le tenir sur toute la L3), mais je vais tout faire POUR ! Et ce, avec quelques petits bâtons que j'adore me mettre dans les roues (j'aime me mettre à l'épreuve) car j'espère être accepté en licence bivalente (anglais/espagnol), ce qui compliquerait la tâche, étant donné que j'ai un bien meilleur espagnol qu'anglais (alors que j'ai passé beaucoup moins d'années d'études sur la première langue citée que sur la seconde...).

    Un ami m'a raconté il y a peu qu'il écrivait des histoires courtes et j'ai eu un tilt énorme dans ma tête : pourquoi pas reprendre mes nouvelles pour former un recueil ? La vérité est que j'en avais déjà constitué un dont le titre était (que je trouvais génial à l'époque, un peu moins maintenant) "Une de perdue... dix nouvelles"; mais celui-ci est bien en-dessous du niveau qui soit pas trop ennuyant à faire déguster aux lecteurs. J'aimerais reprendre ces nouvelles en gardant l'esprit avec lesquelles je les ai écrites (tâche plutôt compliquée) et accentuer les particularités de chacune en renforçant les traits des personnages, en adoptant une écriture adéquate à l'histoire racontée, etc. Le fait d'avoir presque mis en place un pacte avec cet ami, pour un échange de lectures me motive beaucoup. Et pourquoi pas ensuite envoyer le recueil à de petites maisons d'éditions ?

    En parlant d'écriture, étant donné que je vais reprendre cette activité que j'ai abandonnée pour une écriture davantage 2.0 (ce blog, des correspondances avec des français, espagnols, togolais, etc.) [aucune n'est à blâmer, chacune à ses forces et ses faiblesses], j'aimerais bien reprendre une idée aussi que j'aurais aimé mettre en place depuis quelques années déjà et que je n'ai jamais pu réaliser à défaut d'avoir trouver quelqu'un avec la même motivation : une écriture à plusieurs imaginations, univers, humours (ou pas); à au moins quatre mains en tout cas. Si le cœur vous en dit, vous savez ce que vous avez faire (non ! là, je ne ferais pas de parenthèse pour dire ce que vous devez faire, car là, vous pourrez vous referez à celle déjà précédemment faite pour l'occasion).

    Hormis le portugais et le russe, je planifie d'apprendre le catalan afin de compléter un peu mon panorama géographique du continent européen et ainsi anticiper mes futurs voyages;) (on a le droit de rêver, non ?). J'ai découvert qu'une langue du Pérou s'appelait le "Quechua"... y-aurait-il des péruviens chez décathlon ?

    Toujours pas de travail. Je suis pour le coup un peu biaisé par mes études qui ne me permettent pas une facilitation de l'embauche, contrairement à un bac professionnel ou cap/bep qui recrutent beaucoup plus facilement (car ce sont des emplois manuels qui nécessitent de la pratique (chose qui est rarement apprise en général)). C'est un petit regret de ce côté-là, mais je suis sûr qu'après ça va être géniallllll quand je vais exercer le travail que je rêve depuis plusieurs mois (on pourra bientôt dire plusieurs années).

    Je vous ai résumé (si, si, c'est un résumé) un peu mon humeur, comment je m'en sors (ou pas) avec ma vie, en espérant que la vôtre soit toute aussi mouvementée (positivement, évidemment). Merci à tous de me suivre, vous êtes de plus en plus nombreux et me faites penser que je devrais continuer...