En l'espace de trois jours, les mineurs nous ont montré leur lente et puissante virée vers la délinquance. Toujours poussés vers plus de sensationnalisme, ils se permettent dorénavant presque tout (le presque est là seulement de circonstance). Accidents de voiture à la pelle, profanation de tombes, saccage d'une école maternelle (avec en prime, un jeune délinquant de 5 ans, on arrête pas les améliorations !), etc. Les mineurs vont bientôt devenir un problème majeur, et pas que lorsqu'ils le seront... majeurs.
D'ailleurs, je me faisais cette petite réflexion : pourquoi existe-t-il cette distinction mineur/majeur et surtout pourquoi utilise-t-on ces termes au quotidien ? Pourquoi dit-on à un jeune qu'il faut qu'il attende sa majorité pour passer son permis, alors que 18 ans aurait permis de dire la même chose ? Cette barrière linguistique laisse à penser qu'on devient adulte que lorsqu'on passe cette frontière, ce caps : 18 ans (pour la France). N'y aurait-il pas des jeunes de 16-17 ans bien plus mûrs que d'autres de 20 ? Faut-il considérer adultes les casseurs en tous genres, les voleurs, les fraudeurs (avec plus de précaution, car une partie le fait pour survivre, mais je pointe bien là, uniquement ceux qui sont cupides), etc. ?
J'ose croire que l'éducation va tendre dans les prochaines années à offrir un "risque-mesuré" à ces jeunes pour pas qu'ils se sentent obligés ensuite de le prendre, mais sans avoir eu aucune consigne et sans connaître les conséquences.
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Je suis juste en train d'halluciner en couleurs comme le dirait les espagnols (flipar en colores) devant la prestation de ces deux amis slovènes-croates qui reprennent au violoncelle les plus grands classiques du rock jusqu'au rock de nos jours !