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Pour ceux qui suivent...

Ce matin, c'était le GRAND jour... enfin non, c'était une matinée comme les autres... On m'a déposé à 8 heures tandis que l'examen ne commançait qu'à dix, après une bonne heure de montée d'adrénaline, on nous a enfin donné nos télécommandes. Oui, parce que de nos jours, on zappe les questions ! Enfin symboliquement, car devant l'écran de cinq mètres, la voix fluette qui nous prend pour des imbélices à parler à trois mots par heure et une attention décupler par le stress, je ne pense pas qu'il soit possible de rater une seule question. Enfin bref, tout ça pour un petit "favorable" collé sur mon dossier. Allez hop, ça c'est fait. Quel est le prochain examen ? Le permis ? Outch, bah non, en fait je suis pas pressé...

En retournant à la bibliothèque (j'y vais pas souvent car la grande ville est éloignée, et dans celle de mon village, ben... on a beau faire trois fois le tour de la bibliothèque, on trouve jamais ce qu'on cherche), j'ai encore été attiré par les livres de philosophie. J'en ai ouvert un, deux, puis trois, par curiosité. Cela m'a davantage donné envie, plus que ce que j'avais déjà de découvrir cette matière, d'écouter mon futur professeur pendant huit heures par semaines et d'apprendre des notions, des citations; comprendre comment le monde des idées s'organise, pour organiser les miennes, canaliser le flux inhérant, incessant.

Première médaille d'or pour la France aux Jeux Paralympiques, en natation !

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