Rien de meilleur qu'une vieille petite boutade, très certainement éculée, mais dont je n'avais point ouie auparavant pour me remettre de bonne humeur, enfin, d'une humeur encore plus soutenue que celle que je possédais déjà ! Pour ceux qui hésitent à se lancer dans la blogosphère ou qui ne savent pas comment s'y prendre, je recommande un bouquin (ancien puisqu'il date de 2004, mais très enrichisssant) intitulé "Blog story", racontant les débuts des blogs, pourquoi cette appellation alors qu'ils étaient nommés au tout début "weblogs", les outils nécessaires pour en créer; et surtout, les raisons, motivations pour mettre à jour son propre blog (le livre en propose 10 principales).
Sinon cette semaine on a parlé en espagnol du mouvement surréaliste en admirant d'abord quelques tableaux de Dali et notamment un qui avait un très long titre que je n'aurais pas le courage de recopier; puis par un "film" qu'il a coécrit avec Luis Bunuel; et dont j'ai absolument rien compris au premier visionnage. Même si cela s'est éclaircit depuis, beaucoup de choses restent floues et aussi, si vous avez des interprétations à proposer, n'hésitez pas à les poster en commentaires. Sinon, je suis très très prenant de ce genre d'oeuvres; qui plus est, amènent un travail de réflexion : dans ce cas là sur le monde des rêves.
Aussi, ne puis-je pas passé à côté d'une anecdote qui m'a fort amusé sur le coup et qui continue de me faire effet encore 48 heures après : nous faisions des exercices typiques de surréalistes; nous nous sommes mis par deux, mon ami n'a jamais été dans ma classe, et ne m'est proche que parce que nous avons plusieurs cours en commun (il faut le souligner car ça à son importance). L'exercice consiste à ce qu'un écrive une questions, puis regarde l'autre dans les yeux, sans qu'aucun mot ne soit échangé, puis l'autre doit écrire une réponse, celle qui lui passe par les esprits; et là quand nous avons vus le résultat, nous sommes réellement restés abassourdis. Ma questions était : "Tu aimes bien les avions ?" et sa réponse "Oui, cela me plairait beaucoup de faire un voyage." Quelle coincidence ! Quoi de plus merveilleux que de se rendre compte que nous sommes manipulés, corrumpus par notre inconscient qui dicte nos pensées ?