Ne fuyez pas ! Le titre de cette blognote n'appelle certainement pas à une note pleine de réflexions philosophiques qui rasent le sol. Non, loin de là. En fait, ce soir, je me demandais juste pourquoi les policiers nous demandaient lors d'un contrôle ce qu'on avait bu, s'ils sont sur le point de nous faire le test... quoi qu'on réponde ? Si des policiers passent par là (ou des personnes sachant davantage que moi su le sujet), qu'ils éclairent ma lanterne !
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Si vous voulez impressionner votre entourage, apprenez la macarena (la chanson qu'on s'entende bien... la danse tout le monde la connaît je crois) ! Dale a tu cuerpo alegría macarena, que es para darle alegría y cosa buena, dale a tu cuerpo alegría macarena, ehhhhhhh MA-CA-RE-NA. Ou alors le "un, dos, tres, un pasito para delante María".
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Premier cours de russe aujourd'hui. J'ai revu pas mal de choses que j'avais déjà apprises par moi-même et en ai appris d'autres ! En une séance d'une heure, on a bien avancé. J'ai hâte d'être jeudi pour un cours de deux heures, et progresser à vitesse grand V. D'ici là, je vais réviser le vocabulaire, l'alphabet et les quelques règles que nous avons écrites aujourd'hui. Y-aura-t-il prochainement sur ce blog un russo'mag ? Et pour en revenir au titre de cette blognote, je dirais que c'est une langue difficile donc donnant un plus énorme face aux adversaires lors des entretiens d'embauche et que la Russie, en dehors de toute morale et vie politique, est un pays absolument magnifique (en photos en tout cas).
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Par le plus grand des hasards je vous présentais une chanson que j'aime particulièrement du groupe Fauve... eh bien, ils ont publié aujourd'hui un extrait d'une des chansons qui composeront la suite de leur album "Vieux Frères".
Par contre, s'il vous plaît, ne mettez pas d'introduction d'une minute... Je souhaite pousser un gros coup de gueule contre ces blancs qui ne servent à rien et qu'on laisse, qu'on crée. Pourquoi ? C'est de l'art, c'est le début. Non, il y a tellement à dire dans cette vie qu'on ne peut pas se permettre de laisser une page vierge, une oreille, un esprit non-alimentés.