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Il n'y a que toi qui puisse me lire (035)

Il y avait un artiste dans mon groupe d'anglais. Je le côtoies une fois par semaine, lors de ce cours, depuis plus d'un an. Et c'est seulement maintenant que j'apprends un de ses talents (et encore, c'est un ami qui l'a démasqué [car les vrais artistes sont souvent modestes (pas toujours, il faut regarder ce que faisait Dali de sa personne...)]) ! Tout le monde connaît plus ou moins personnellement un "artiste"; mais qui connaît un "so fucki** brillant" dessinateur que lui ? Safet, c'est son prénom. "The World of Safet", c'est donc son monde qu'il nous expose. Il a mon âge et participe déjà dans des expositions ! Pas étonnant vu son talent ! Un petit tour sur page vous en donnera un bel aperçu : https://www.facebook.com/pages/The-World-of-Safet/579346388831389?sk=timeline

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Je me suis toujours posé la question de savoir si vous préféreriez que je laisse intact mon blog une fois que les notes ont été écrites ou que je pourrais les modifier à foison, les enjoliver (encore que, on pourrait se demander aux yeux de qui elles le seraient...), les nourrir. Mais je pense avoir trouvé un bon compromis : faire des ajouts sans jamais modifier (sauf pour faute d'orthographe ou de syntaxe) mes blognotes et signaler cette nouvelle "matière à lire" (ou à ne pas lire, selon l'envie) dans la blognote qui paraîtra le jour suivant (ou dans un futur immédiat [je fais cette précision au cas où un lecteur de 2016 me lirait et se rendrait compte que mon projet de septembre14 de serait plus valable]).

Je vous annonce pour commencer cette nouvelle manière de procéder que j'ai rajouté un paragraphe (le dernier de la blognote) sur le thème des prénoms, car je voulais vraiment mettre au clair mon ressenti face à la désignation des personnes, à l'importance qu'on leur donne, au panurgisme inhérent dont font preuve les parents qui cherchent la mode, ainsi que mon ras-le-bol face aux moqueries effrontées sur les prénoms.

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Il ne faut pas réprimer ces instants ''revanchards'' où on chercher à tout prix à avoir raison ! Car c'est un sport saint que de débattre, tant qu'on parvient à tourner un peu plus loin du pot et à ne pas trop s'y frotter (ça peut faire mal à la peau et au pot, manque de pot, ce dernier en a pas (je voulais imaginer la suite)). Et aujourd'hui, c'est autour d'un emploie sur l'indicatif ou le subjonctif après une locution restrictive telle que "il n'y a que... qui", que je me suis battu et évertué de montrer que le subjonctif s'employait dans un tel cas. En réalité, les explications trouvées sont confuses et finalement assez souples : les deux peuvent s'employer avec une différence entre les deux très mineure !

Un commentaire pertinent que j'ai trouvé sur forum "études-littéraires", se basant sur la grammaire Riegel : "Tu es le seul qui puisse le faire : C'est pour moi une hypothèse plausible. Mais je ne t'ai pas forcément déjà vu le faire, je ne l'ai pas forcément constaté.

Tu es le seul qui peut le faire : Ma remarque est un constat; j'ai déjà constaté que tu pouvais le faire, je t'ai vu déjà le faire, c'est une réalité."

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Rien n'est impossible, rien n'est écrit d'avance...

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Une phrase marquante de la bande-annonce du film "Wild" : "Si c'est au-dessus de tes forces, dépasses-toi".

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