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Retard(s) (042)

Tout d'abord pardonnez-moi de rédiger cette note deux heures plus tard que l'heure limite. Oui, cette note a été publiée avant d'être rédigée (une petite astuce de ma composition pour me donner bonne conscience). En fait, l'essentiel pour moi est que la note du jour soit en adéquation avec ce que j'ai vécu ce jour-là et non pas ce que je vis à l'instant, dans le jour suivant (oui, les dilemmes temporels envahissent ce blog). La raison de ce manquement à ma propre règle d'écrire une blognote par jour est que je suis allé voir un film en fin de soirée et que j'ai une journée chargée demain.

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Je vais rencontrer Caroline Lepage ! Pour les hispanistes, c'est une traductrice littéraire qui est en charge d'animer le blog Tradabordo ! J'ai hâte (plus que quelques heures d'attente) ! Elle va nous présenter des nouvelles, micro-nouvelles et mémoires sur la dictature chilienne d'Augusto Pinochet. Un sujet intéressant, et des supports qui me ravissent (d'ailleurs, j'aimerais bien en réécrire dans les prochains jours, et j'ai quelques idées déjà qui émanent).

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Voici quelques jours déjà que je suis allé voir Lucy, et je me rends compte que je ne vous en ai pas parlé ! Et pourquoi me demanderez-vous ? Parce qu'il n'est pas allé au-delà de ce que laissait penser la bande-annonce, ni de ce qu'on pouvait faire d'un tel thème (vu et revu en ce moment). Une copie presque conforme de Transcendance (les deux ont Morgan Freeman dans leur équipe d'acteurs), si ce n'est traité avec un poil moins de profondeur que ce dernier. Je n'avais jamais vu de Luc Besson et j'ai été très déçu par ce film (prévisible) qui souhaite en mettre plein les yeux (avez des moyens techniques et financiers faramineux) et ne parvient presque jamais à nous surprendre.

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Erasmus, c'est devenu du n'importe quoi ! Oui, vous avez bien lu, je suis contre ce système d'échange, ou du moins, dans le système appliqué aujourd'hui dans nos universités. Depuis quand un jeune se voit-il obligé de partir vers une telle destination, contre son plein gré ? C'est possible d'accepter cela ? Certes, bien trop d'étudiants prennent Erasmus comme des vacances, mais est-ce une raison pour les priver des joies et des libertés que doivent rendre possible les échanges à ces étudiants ? Assurément non !

C'est quoi aussi cette sélection élitiste (seul les meilleurs scolairement ont le droit de partir) ? Comment peut-on favoriser les meilleurs (qui deviendront meilleurs) et laisser sur le bord (et par là-même les décourager) les moins bons [selon quel point de vue ?] (qui deviendront encore moins bons) ? Je pense que je vais boycotter, du moins pour le moment, ce programme d'échange qui est absolument contraire aux principes que j'entends défendre : partage d'expériences entre tous, aide, et acquisition de libertés.

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Juste une petite ligne pour vous dire qu'il ne faut pas désespérer d'attendre l'espa'mag hors-série n°2 qui prend du tard et devrait être amputé de mon voyage à Barcelone, qui fera l'objet d'une mini présentation en style "mini roman photos" ! Mais rassurez-vous, vous l'aurez demain ou après-demain (le plus envisageable à mon humble avis [même s'il va falloir se dépêcher, afin de commencer celui de novembre]).

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Ce n'est qu'une sélection des choses qui m'ont fait tourner la tête pendant la journée ! J'espère vous revoir demain, pour de nouvelles aventures (dont un commentaire sur un film pour ados plutôt branché, je vous laisser deviner lequel) !

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