Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Mince alors !

    Une petite comédie décapante, ça soulage ! Quelle bonheur après une journée de dure labeur que de pouvoir rire autant; s'amuser avec ces 1h40 de légèreté (en contraste avec le thème abordé : le surpoids), avec ce décalage, cet humour, ces personnages attachants... Malgré une fin plutôt attendue, ce film mérite d'être vu selon moi. Et quel bonheur de retrouver Pascal Légitimus (pour ceux qui ne le connaissent pas, mais j'en doute que de telles personnes puissent exister [peut être une infime partie des jeunes générations ?], foncez immédiatement voir les vidéos de "Les inconnus", des poilades assurées). L'auto-dérision est savamment menée et les répliques cinglantes et tordantes ne cessent de fuser tout au long du film : "Cela ne sert à rien de rentrer le ventre". -"Si, à voir les chiffres" ou encore "Mais t'es conne naturellement ou tu prends des cours du soir ?".

    A regarder si vous recherchez un moment de pure détente. C'est une dénonciation implicite aussi des personnes qui penseraient que si elles sont grosses c'est pas de leur faute, Sartre aurait dit qu'elles ont choisi de l'être, et que même si elles n'avaient pas choisi; ne pas choisir, c'est encore choisir. Bref, ce film résume très bien cette société qui ne désire plus que des "taille mannequin" et redonne de l'espoir vers un regard neuf allant dans les deux sens; pour le bien de tous !

    Synopsis et détails : 

    Nina est jeune, jolie et ronde. Malheureusement son mari Gaspard n’aime que les femmes très minces… Surtout depuis qu’ils se sont installés à Paris pour monter leur ligne de maillot de bain ultra pointue. Pour tenter de le séduire à nouveau, Nina accepte à contrecœur le cadeau qu'il lui offre : une cure d’amaigrissement à Brides-les-Bains. Le dernier espoir des gros quand on a tout essayé.

    Là-bas, elle va faire la connaissance de Sophie, une belle avocate marseillaise qui veut tout contrôler ; son corps, comme son cœur. Emilie, une mère de famille très enveloppée qui clame partout que « Big is beautiful » alors que sa vie amoureuse est à l’arrêt, et que son poids commence à la mettre en danger. Larencontrede ces trois personnalités va déclencher un raz-de-marée.

    Ce film a fait 1,4 million d'entrées en France et a été nominé une fois (source : allociné).

    Bande-annonce :

  • Viser la lune (citation d'Oscar Wilde)

    "Il faut toujours viser la lune, car même en cas d'échec, on atterrit dans les étoiles"
    Oscar Wilde

  • Une publicité et une parodie - Un anuncio y una parodia

    Les espagnols prennent avec beaucoup d'humour leur situation économique très dégradée et ne manque pas d'imagination pour nous concocter des vidéos déjantées, drôles et à la fois poignantes, pleines de vérité.

    Une publicité faisant le "portfolio" de la crise économique en Espagne (il en ressort un très grand optimiste, une publicité jouissive) :


    Une parodie de la danse du cheval, malgré une voix que je trouve horrible, j'ai adoré cette parodie et notamment l'auto-dérision utilisée dans les paroles (avec les sous-titres en espagnol) :

  • Orthographe : ci-joint, ci-jointe

    Le site du projet Voltaire propose d'excellentes vidéos pour apprendre les règles d'orthographe !




  • Impression

    "Je ne regarde pas les informations parce qu'à chaque fois j'ai l'impression qu'on nous annonce une nouvelle fin du monde : c'est déprimant".

    Voilà ce que j'ai pu entendre ce matin. Cette phrase énoncée sur le ton de la banalité m'a violemment interpellé. Où se niche l'optimisme ? Devenir "Candide" serait-il le seul moyen de s'émerveiller des bonheurs de la vie ? Mais moi qui lit régulièrement la presse, qui regarde le journal télévisé parfois, je n'ai pas ce même regard, je ne vois pas comme pessimistes toutes les nouvelles annoncées, j'y vois toujours quelque chose de nouveau, qu'il soit bien ou mal, cela pimente notre laborieuse évolution, alors, contrairement à ce qui dit l'adage, je suis convaincu de bienfait que cela peut procurer d'avoir "des nouvelles".

  • Dit, sur la liberté

     

    « La liberté consiste moins à faire sa volonté qu'à ne pas être soumis à celle d'autrui » de Jean-Jacques Rousseau

  • Les profs (cinéma)

    Une adaptation de la bande-dessinée les profs a été réalisée et sortira prochainement dans les salles. Bien que je ne sois pas du tout fan de Kev Adams, j'adhère totalement au personnage (rien qu'en voyant la bande-annonce) Boulard (le cancre).

    J'espère que le film est réussi, j'irais certainement le voir.


  • Plurality (court-métrage futuriste)

    Il dure 15 minutes, imagine ce à quoi pourrait ressembler notre société en 2023, et ait une -pure- merveille dans son genre... Plurality est un court-métrage futuriste que je trouve excellent et que je vous propose de visionner.

    Pour mettre les sous-titres (en anglais, j'ai pas trouvé en français), cliquez sur "sous-titres" dans la barre d'icônes en dessous de la vidéo ! Ceux-ci ne sont pas dans le meilleur des timing qu'il soit afin d'apprendre l'anglais mais je les trouve d'une grande utilité pour la compréhension (pour les débutants, et même les confirmés).

     

  • Julio Cortázar - Un poco de lectura !

    http://www.taringa.net/posts/links/1439322/Cortazar---Algunos-cuentos-para-leer-online.html

    Julio Cortazar est un très grand nouvelliste argentin à la renommée mondiale dans la sphère hispanophone et bien au-delà (grâce aux traductions qui en ont été faites). J'ai découvert cet auteur en français, avec une très belle nouvelle mettant l'écrivain lui-même en abyme : "La continuité des parcs". Le lien (ci-dessus) vous conduira sur un site répertoriant des liens menant aux écrits dans sa langue maternelle (l'espagnol). Evidemment si vous ne parlez pas espagnol, je vous recommande très vivement tout de même de les lire dans leur version française, tout aussi délectable.