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Film - Page 11

  • Humour, folie, absurde, courir, musique : ou comment vous faire tourner la tête (017)

    Pour les sportifs qui s'intéressent à mon parcours ... sportif : j'ai couru un 5km aujourd'hui en 18'30''. Je suis en route pour courir les 10km de Beaufort-en-vallée (49) où je viserais un chrono aux environs de 39-40'. Je me permets de faire un petit point car cela me donnera une idée plus tard du parcours que j'ai réalisé avant de faire de grandes choses (oui parce que j'ai de l'ambition). Enfin, cela dépend de ce qui nous fait rêver à chacun : moi c'est de réaliser un iron-man (un triathlon comprenant 3.8km de nage, 180km de vélo et 42.195 de course à pied) dans ma vie, et vous ?

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    "Shining", de Stanley Kubrick

    J'ai enfin pu voir ce film dont on me parlait tant en bien. Et je n'ai pas été déçu (en même temps qui peut l'être par Stanley Kubrick ?) ! Quelle sensation de bonheur et de frayeur en voyant l'image culte où il sort la tête de la porte qu'il vient de découper à la hache !

    La bande-annonce est malheureusement très moyenne et pas à la hauteur du film. Shelley Duvall est je troue très mauvaise dans son rôle (je ne l'ai jamais vu dans un autre film); contrairement à Jack Nickholson qui excelle dans son rôle de fou furieux. Ce film joue entre démence, tension et suspense. Un chef d'oeuvre tout à fait dans la veine, selon moi, du roman de Stephen King (malgré que lui-même se plaint d'une version pas en phase avec son scénario [il a d'ailleurs supervisé sa propre version, plus fidèle selon lui à ce qu'il a écrit]).

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    Types d'humour : noir vs absurde

    Doit-il y avoir absolument compétition entre les deux (oui, vous pourrez constater mon caractère diplomatique) ? Ils pourraient se compléter selon une de mes professeurs qui en a fait une excellente démonstration lors de son cours en nous racontant comment ils étaient obligés de couper des corps humains pour les faire rentrer dans des cercueils trop courts pour qu'ils soient mis en entier. Le monde est absurde par nature, c'est nous essayons trop de le raisonner, ou pas assez. L'absurdie, ce monde qui fait rêver et cauchemarder à la fois. Je suis un grand fanatique de l'humour absurde et si je devais choisir je garderais celui-ci; mais définitivement l'humour noir me fait rire aussi et est en quelque sorte, parfois, une sous-catégorie de l'absurde.

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    Allez chercher dans les albums des groupes ou chanteurs que vous aimez, les pépites sont souvent celles qui sont les moins partagées, celles qui vous toucheront vous personnellement, ou toucheront vos oreilles, votre esprit (voici mon conseil du soir).

    Je vous dis cela car j'avais particulièrement apprécié "Carmen" et avait été déçu par la sur-médiatisation de ses autres chansons prenant le dessus sur celle-ci. Et ce soir, je suis tombé sur une de Fauve qui m'a retourné le cœur et que je voulais partager avec vous "Sainte Anne" (ne me demandez pas pourquoi elles ont toujours un prénom de fille...).

    La chanson est d'abord et avant tout un texte, rempli de phrases chocs comme savent le faire les membres du groupe Fauve : "Je suis devenu tellement livide à faire sourire un génocide."

    Certes, certains (la répétition m'a fait mal aux doigts) vont penser que le clip est inexistant... or, il est là, peut être comme un message... peut être comme une ode à la réalité... qui sait ? Chacun se plaît à imaginer comment il veut voir le monde, et c'est cela qui fait sa force et sa diversité.

  • Idées volatiles (012)

    Je n'ai encore jamais vu d'étoile filante de ma vie.

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    "Si les monnaies étaient remplacées par des pierres, on arrêterait de s'en jeter''.

    Ceci est une petite réflexion que je me suis faite en parcourant les rues de Barcelone (qui est une ville splendide) et en voyant que l'argent régissait beaucoup de choses aujourd'hui. Je ne suis pas tombé de haut je vous rassure, mais voyager dans une ville très touristique peut devenir vite coûteux (même si cela l'est déjà pour arriver jusque là-bas. Je trouve par exemple qu'il est triste de voler incessamment des vélos dans cette ville qui mériterait d'avoir davantage de cyclistes... En effet, même si la population est essentiellement piétonne, la ville est grande et chacun pourrait découvrir des joyaux sur une étendue plus grande et par la même occasion faire du sport et diminuer la pollution des villes (car les transports en commun sont très consommateurs, ne nous leurrons pas non plus quant à leur sujet... certes moins que la voiture... mais beaucoup plus que la marche ou le vélo !). J'espère que lors de mon prochain séjour je pourrais préserver ma bicyclette du début à la fin et ainsi vivre une expérience encore plus extraordinaire !

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    Je suis actuellement en train de lire Nos étoiles contraires de John Green et je suis absolument charmé par son écriture qui est très fraîche, drôle, et ... ah ! je vais dévorer ses œuvres lorsqu'elles seront dans les bibliothèques municipales (car 16€ le bouquin ça fait un petit peu chère)! Rajoutez une histoire pleine d'optimisme et d'humour et vous avez un cocktail explosif, comme Grace... qui est une perle fictive qu'il faut savoir ne pas négliger dans la réalité (car elle pourrait très bien exister cette personne (je veux dire, quelqu'un dans la même situation avec le même caractère [je ne parle pas de l'acteur])). John Green est un homme avec un grand cœur, tout comme Bill Gates qu'il a accompagné dans son voyage en Ethiopie récemment. Il fait également des vidéos de 3' à 5' généralement, très dynamiques et drôles que je vous recommande pour apprendre pleins de choses et se divertir !

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    Voici la bande-annonce de la première partie de Hunger Games 3 ! Il sera le 19 novembre au cinéma, trop hâte !

    Mention spéciale pour la musique sifflante de fin qui est juste épic, elle mérite, même pour ses trois secondes sur la bande originale, un oscar !

  • Limites physiques (008)

    Quelles sont-elles ? Je ne suis pas sur-humain; personne ne l'est, du moins ne l'est en ayant conscience de sa sur-humanité. Jusqu'où je peux repousser la souffrance ? Jusqu'où je peux aller en appréciant ce que je fais, sans empiéter sur les bonnes sensations, sans abuser du bonheur (car oui, il se boit à petites gorgées !) ? Je pense que le mental fixe une grosse part de la performance au bout d'une certaine durée, d'un certain effort. Si je pense à tout cela, c'est que je projette dans un futur (encore assez lointain, on parle en années) de faire des marathons, 100km, 24 heures, 6 jours, de faire des courses de montagne, des iron-mans, ainsi que des double décathlon en deux ou un jour !). Ce ne sont que des projets, cela sera dur de tout faire, mais je jubile déjà à l'idée de pouvoir faire ces épreuves un jour !

    J'ai déjà vécu une intense joie lorsque j'ai terminé dimanche dernier le triathlon de villevêque (dans le maine et loire, 49) en 1h13'30'' (600m natation - 20km vélo et 5km de course à pied) ! J'enchaîne avec un petit triathlon (Feneu) ce week-end. J'ai trop hâte de réaliser un iron-man et pourtant j'attends patiemment, en m'entraînant, car je suis loin d'en avoir la capacité physique pour le moment (même si comme je le disais le mental jouera beaucoup pour atteindre de tels objectifs).

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    Je pourrais faire un parallèle avec le sommeil polyphasique qui demande de repousser des limites physiques aussi... ou du moins de changer les habitudes du corps (car a priori le physique n'en prendrait pas un coup). J'ai échoué cette nuit (j'ai fais 4h au lieu de 3h20 en m'endormant devant un film pas assez dynamique [Et maintenant où on va / Attention, il est peut être bien, il faut que je le finisse à tête reposée pour savoir quoi en penser] et cela m'a mit dans le dur toute la journée). La période d'adaptation s'annonce plus longue prévue du fait que je n'arrive pas à caler mes siestes pour le moment; mais je vais y parvenir, j'en suis convaincu !

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    Toy Story 3 est un superbe film pour ceux qui ne l'aurait pas vu; encore mieux que ses deux précédents : chapeau bas Pixar, continuez de nous faire rêver !

  • Soirée ciné (005)

    J'ai vu l'année dernière, lors de sa sortie, casse tête chinois, tandis que je n'avais pas encore vu les précédents films (l'auberge espagnole et les poupées russes). J'ai fini par voir l'auberge espagnole qui est le film le plus connu de la trilogie du réalisateur Cédric Klapisch. Et par le plus beau des hasards, j'ai vu ce film tandis que j'étais à Barcelone et j'ai pu situé tous les lieux nommés dans un espace physique ! Je n'ai pas vécu une telle colocation, mais je suis sûr que la plupart des points énoncés sont vrais, même si la fiction tend à caricaturer les traits de la réalité. C'est une comédie qui m'a déçue : deux heures de bien être, mais pas de vrai moment drôle. Un Romain Duris, une Audrey Tautou au début de leur carrière, ne réussissent pas à enlever le film. Casse-tête chinois vaut davantage le détour que ce film poussiéreux dont on ne ressent pas le rythme, ou plutôt si, celui de Barcelone, une lenteur profonde qui t'endort si tu la vois dans ton lit (même si tu te trouves dans la ville où il a été tourné).

    J'ai vu hier "Voyage au centre de la terre" qui est une fiction racontant comment des personnes qui croyaient aux récits de Jules Verne se retrouvent plongés dans les univers décrits dans ses livres et les aventures folles qu'ils vont vivre. Même si ce n'est pas transcendant, ce film allie humour (quand ils chutent et qu'à un moment l'un d'entre eux s'écrient "Mais on tombe toujours" et qu'ils se mettent à crier de plus bel tandis qu'ils s'étaient arrêtés un moment), amour (même si c'est très en-dessous de la ceinture et vulgaire) et action ! Un film efficace qui ne dure qu'une heure et demie, et qui me donne envie de voir le suivant !

  • Souvenirs, souvenirs, soupirs (002)

    La nostalgie est puissante. Elle a le pouvoir d'arrêter notre vie pendant des minutes entières, de nous hypnotiser, de nous subtiliser à la vie ''présente'' et de revivre des moments extraordinaires. Je suis un de ceux qui détestent ce sentiment et ces petites phrases navrantes ''c'était mieux hier'', ''où va le monde ?''... mais, étrangement, l'enfance est un passage de ma vie qui me remplit de pensées positives. Je n'ai pas vécu une enfance toute rose (personne d'ailleurs) mais l'idée de l'enfant, de sa liberté, de l'environnement dans lequel il évolue (des balançoires, par exemple), m'apaisent. Oui, nous sommes toujours enfants. Davantage que cela certes, mais toujours un peu enfants.

    Alors quand j'ai croisé ce pupitre... mon cœur s'est arrêté. C'était lors de mon séjour à Paris. Il faut savoir pour ceux qui ne vivent pas là-bas ou qui n'ont jamais eu la chance d'y aller que beaucoup de parisiens laissent dans la rue ce qu'ils n'utilisent pas et qu'on peut ainsi remeubler son chez soi pour presque pas un sou (un vrai coup de pouce quand on connaît le prix des loyers). Il se trouvait-là, tout seul, au milieu de la rue. Un pupitre en bois avec sa partie rangement en dessous, comme ceux qu'on avait à l'école ! Après avoir pensé à de multiples stratagèmes pour le récupérer (nous nous trouvions à plus d'une heure de marche du logement), nous avons fini par nous en séparer. Le final de cette histoire n'est pas si triste, puisque nous y avons laissé un message chacun avec notre signature, pour son futur acquéreur, ou tout simplement pour que le pupitre se souvienne de nous.

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    Voici mon message pour ce pupitre qui restera à graver dans mon esprit autant que ces mots y seront inscrits : "Tu me donnes tant de souvenirs, tu es si utile, que j'aimerais te subtiliser à la rue".

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    Je ne vous ai pas prévenu, mais je ne me contenterais pas d'énumérer qu'une seule chose chaque jour lorsque ma journée aura été bien remplie... non, je ne me priverais pas de vous raconter tout ce que mes neurones ont vécu, vivent et veulent vivre ! Chaque sujet sera séparé de deux "tirets haut", comme cela :

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    J'ai testé un restaurant indien hier, pour la première fois de ma vie; et j'ai adoré ! Hormis la glace qui était un dessert tout à fait occidental, le repas était une riche expérience de découverte pour mes papilles qui ont eu la joie de se délecter en entrée d'un yaourt avec des concombres [un légume que je devrais manger plus souvent tellement j'adore cela] et de la tomate et en plat d'un agneau en mini-boulettes de viande hachées, ainsi que du riz : hum, un délice ! Le "nan", cette sorte de pain indien qui ressemble à la "fouée"/"fouasse" que l'on retrouve dans le nord-ouest de la France est très bonne (je l'ai goûtée nature n'aimant pas le fromage, mais certainement que c'est encore meilleur avec celui-ci, pour les amateurs).

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    [American Nightmare, vous ne ferez pas de cauchemars avec cela ! Attention quelques spoilers ont pu se glisser dans le texte qui suit.]

    J'ai vu "American nightmare" aujourd'hui et ce film se laisse regarder, mais n'est pas non plus une tuerie (enfin si, enfin non... vous me comprenez...). Le scénario qui est vraiment original m'avait d'abord emballé (tous les citoyens américains ont le droit de tuer n'importe qui, chaque année, pendant douze heures, sans devoir être poursuivi pour son crime), mais la façon dont il a été traité n'a pas su me contenter. En effet, le film ressemble à un Scary Movie, sauf que celui-ci recherchait cet effet d'invraisemblance et excellait même dans cette parodie des films d'horreur. American Nightmare quant à lui ne réussit que peu à me surprendre et la mise en scène est totalement prévisible [chaque personnage s'absente un temps du champ de la caméra et réapparaissent lorsque les personnages principaux sont pris au piège et semblent sur le point de se faire tuer]. Les effets de la caméra au pied avec une musique de suspense qui n'est implantée que sur le robot construit par le petit de la famille ne parviennent même pas à faire remuer un petit quelque chose dans mon ventre (on s'attend déjà après seulement dix minutes de passées à ce que ce ne soit qu'une tentative... sinon, que pourraient-ils bien raconter tout au long du film si le climax commençait à ce moment ?). Heureusement qu'il ne dure qu'1h25. En définitive, pas un super bon film, mais c'est un petit divertissement; peut-être en attendant que le 2 (qui est sortit récemment au cinéma) me surprenne ?

  • English : vloggueur et film (vivement conseillés)

    Il y a un film dans la même veine de "Nos étoiles contraires" (The fault in our stars) qui s'appelle "Si je reste" (If I Stay) que je suis persuadé qu'il plaira à beaucoup de personnes, rien qu'en visionnant la bande-annonce, tout comme "Nos étoiles contraires", évidemment (mais celui-ci n'a pas besoin de davantage de publicité de ma part étant donné le succès qu'il rencontre). Les deux traitent des sujets très différents qui se rejoignent sur les sentiments forts qui s'y engagent et la beauté qui peut se cacher dans les moments les plus durs (vous savez, comme cette phrase de Dumbledore qui est ressortie récemment dans une lettre de JK Rowling à une personne qui avait survécu une fusillade, où sa famille avait été tuée : "On peut toujours trouver le bonheur, même dans les moments les plus sombres".). Par ailleurs, ce sont deux adaptations de livres sur lesquels je vais me jeter dessus en vo si possible, dès que j'aurais un peu de temps disponible.

    Je vous le recommande en anglais ! Vous pouvez toujours regarder la bande-annonce en français pour vous faire une idée de la raison pour laquelle je ne vous la conseille pas dans la langue de Molière.

    John Green est l'auteur de "The Fault in our stars" et a co-produit le film qui en est adapté (si je ne m'abuse...). C'est aussi un excellent vloggueur qui livre ses pensées sur youtube. Sa qualité d'expression, son humour en font un véritable showman et une inspiration, un idéal. Sa récente virée en Ethiopie avec Bill Gates montre la grandeur de son cœur, qui peut déjà se remarquer dans les sujets traités dans ses livres. Un coup de cœur !

  • The impossible (le film catastrophe à voir)

    Je suis plutôt fan des bande-annonces chocs avec des explosions de partout, une bande-son qui fait froid dans le dos ou des rebondissements à gogo; mais je sais faire la part des choses et ne me laisse tenter que par les films prometteurs (par le sujet qu'ils traitent notamment). Et je me suis laissé tenter par "The impossible", et je ne regrette absolument pas.

    Ce film s'inspire de l'histoire vraie qu'une famille espagnole a vécue en Thailande, en 2004, lors du terrible tsunami qui a ravagé le pays et fait plus de 250 000 morts. Il nous plonge dans les entrailles de l'être humain : jusqu'où est-il capable de se malmener pour se sauver ? pour sauver les autres ?

    Après un début difficile où chaque action est prévisible, et chaque argument dramatique est niais... je dois dire que le film m'a bien pris et la vague m'a emporté dans sa traversée des vies de ces milliers de personnes.

    La goutte à l’œil ne me vient pas facilement, mais je dois dire que ce film a failli me la faire couler par moments, lors de retrouvailles entre personnages, lors d'instants "cute" (un petit enfant qui pose ses doigts sur la femme bien amochée qui sort son premier sourire depuis que le tsunami est passé), etc. Il est très fort également pour nous mettre perpétuellement dans un profond malaise, jusqu'au dernier moment (je ne veux pas spoiler la fin)... où l'issue est plutôt inattendue et déstabilisante.

    Le seul bémol que je peux reprocher est le choix des enfants qui ne sont pas acteurs et qui ne ressentent pas par moment l'enjeu dramatique que peuvent avoir certaines séquences. Mais comme j'ai cru comprendre qu'ils avaient pris les vrais enfants rescapés, je ne peux que m'incliner devant la prouesse de ce qu'ils ont fait : raconter les durs événements qu'ils ont vécus, leur passé.

    Je recommande vivement donc, le visionnage de ce film qui est vraiment prenant (pas de place à l'ennui).

  • Transcendance et l'intelligence artificielle

    A l'occasion de la fête du cinéma du 29 juin au 2 juillet, j'ai pu aller voir un film au... (devinez...) cinéma pour 3.50 € ! C'est ainsi que j'y suis allé avec un ami et nous avons choisis transcendance car il avait déjà vu x-men (que j'aimerais voir [revoir le premier [l'unique que j'ai vu de la série] m'a vraiment fait envie de voir la suite], mais que je ne verrais pas à cause d'un budget restreint) et que c'était un film de science-fiction (point d'entente sur les goûts de chacun). Nous y sommes allés sans rien connaître de l'intrigue (ou presque). C'est ainsi que je me suis retrouvé à lui demander dans la salle si cela parlait bien d'une personne qui prend pleine possession de toutes ses capacités et met en danger ainsi la planète... et il se trouve que je décrivais l'intrigue de Lucy (le film de Luc Besson qui sortira en août prochain). J'ai du confondre les deux pour la thématique abordée qui est -à mon humble avis- très similaire, et pour l'apparition de Morgan Freeman dans les deux (même si mon ami me faisait remarquer à juste titre qu'il était dans tous les films).

    Ainsi transcendance raconte la reconstitution d'un être par toutes les données récupérées de lui. Le scénariste a imaginé ce qui se passerait si cette intelligence artificielle venait à se développer et se matérialiser (un classique, un sentier battu, non ?). Dans ce cas-ci, cette intelligence assouvit son désir de pouvoir (allégorie de l'être humain) et à l'aide d'une puissance démesurée va essayer de mettre fin à la mort par maladie, aux problèmes environnementaux, etc.

    Si je devais noter ce film sur 20, je lui donnerais un 15. Je le recommande pour passer un bon moment. Il y a pas mal d'action (sans en avoir trop, car je déteste les grosses productions américaines qui veulent en faire exploser de partout (un peu comme dans la bande-annonce du prochain film de Luc Besson, Lucy)), de la réflexion sur l'intelligence artificielle (quel pouvoir doit-on laisser aux robots, aux âmes non-sensibles ?) et une tension prenante d'un bout à l'autre. Je reste un peu dubitatif face à la fin qu'ils m'ont vendue. Le rythme très lent au début joue pour beaucoup dans ma notation également : je comprends que l'intelligence artificielle prend ses pouvoirs petit à petit et que par conséquent la tension, l'action va crescendo; mais je n'aime pas m'ennuyer à regarder un décor se planter (ça manque de quelque chose ayant du pep's dans la première demi-heure (une musique, une explosion, une scène d'émotion, comique ou avant-goût de ce qui nous attend...)).

    Pour ce qui est de mon opinion, je ne pense pas que c'est pour demain l'intelligence qui prendra le dessus sur les humains, mais c'est une chose contre laquelle il va falloir mettre de plus en plus de forces (la stupidité des humains à vouloir s'auto-détruire).

  • Films de pseudo-horreur

    Ayant vu la série des ''scream'' récemment, je voulais faire cette note pour demander (quémander ?) votre avis. Que pensez-vous de ces pseudo films d'horreur ?

    J'ai adoré les Saw (sauf le dernier qui était loin, mais très loin d'être bon...) pour les petits dégoûts qui te font revivre lorsque tu sens bien l'outil transpercer, couper, déchiqueter (choisissez le verbe convenant à la situation que vous vous imaginez) un membre (plusieurs parfois ?). La mise en scène était parfois absolument excellente, comme lorsqu'ils se retrouvent deux dans une même pièce, attachés d'un côté et de l'autre par une chaîne à leur pied et qu'ils doivent se couper une jambe avec une scie pour atteindre un audiophone qui les guidera vers la sortie. Je ne sais plus c'est lequel de la série, mais celui-là était particulièrement excellent pour les rebondissements qu'il offrait. Certains étaient meilleurs dans les giclées... chacun les aime pour différentes manières.

    Je viens de savourer chaque Scream pour les soi-disant frissons qui devaient surgir de quelques situations et qui me provoquaient... un sourire ! Ce sont des films excellents en ce qu'ils jouent avec le genre, ils se moquent des films d'horreur, c'est une parodie de film d'horreur en quelque sorte.

    Maintenant que j'ai bien ri, je voudrais passer à du plus sérieux comme les "Dossiers Warren" (qui est un film de 2013) où les frissons sont réels, mais pas assez nombreux ou mal-amenés. N'hésitez pas à me proposer ceux qui vous ont fait hérisser les poils !

  • Fastlife, on fait la course pour y aller ?

    Il n'y a pas un gros casting, ni de gros effets spéciaux : non... juste un humour décapant ! Allier mon sport favori (athlétisme) et l'humour dans un même film, cela ne peut que me plaîre ! Mais ce film s'adresse à tout le monde ! Voici le trailer d'une nouvelle comédie qui ne vas pas manquer de vous faire rire (on dirait que j'ai adopté un style publicitaire (honte à moi) dans ma dernière phrase) :