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Le Trône de fer (Game of Thrones) est une série télévisée américaine créée parDavid Benioff et D. B. Weiss, d'après la saga littéraire de fantasy médiévale Le Trône de fer de George R. R. Martin, diffusée simultanément aux États-Unis et au Canada depuis le 17 avril 2011 sur HBO et HBO Canada. Presque tous les personnages principaux sont incarnés par des britanniques, et le tournage a eu lieu en majorité en Europe (Irlande, Malte, Croatie et Islande). Une deuxième saison, annoncée deux jours après la première diffusion de la série, est diffusée au printemps 2012.
La série décrit les complots et les rivalités qui se jouent au sein du Royaume des Sept Couronnes, où les familles royales luttent pour s'emparer du Trône de fer, symbole du pouvoir absolu.
Mon avis sur le 1er épisode :
Cette série qui m'a été récemment conseillée relève toutes ses promesses et brille dans son univers. Légèrement gore parfois, un peu trash (décidément), et pas toujours très rythmé; cette série permet cependant un bon divertissement. Des personnages parfois étranges, venus de nôtre monde et pourtant, si différents de notre civilisation. Cette série permet une certaine réflexion sur la sauvagerie humaine; en faisant l'analogie de ce qui se passait à l'époque médiévale, et ce qui continue de se passer.
Un bon film comique français, voilà qui est plaisant à entendre; et vous verrez qu'il le sera davantage à voir. Ce film a été réalisé par Artus de Penguern, et est sorti en salle en juin 2012.
Cette production française a été vue par 62 000 spectateurs dans l'hexagone.
C'est l'histoire d'une clinique, dans laquelle deux couples s'opposent, d'un côté John et Priscilla (les gentils) et Michael et Samantha (les méchants) afin de maintenir la clinique en l'état pour les premiers, et récupérer un gros chèque à la clef pour les autres, promis après le rachat de plus de la moitié des parts de la clinique. Tous les moyens sont permis pour y parvenir (même les coups de couteau, de pistolet...). Un humour un peu trash, très caricatural, mais très plaisant. Avec des scènes attendrissantes, amusantes, très drôles comme sa fin sublime, ce film est très drôle et sait ravir son spectateur. Le "surjouage'" des acteurs n'est cependant pas très confortable pour l'oreille et m'a vraiment titillé à plusieurs reprises mais cela n'enlève en rien à la beauté et à la drôlerie de cette brillante caricature du cinéma.
Respect du rôle de comédie : 4,5/5 -> des passages hilarants, d'autres qui vous arrachent des sourires (comme celui avec cet ours qui ne m'était pas sans rappelé celui de Ted, mais qui lui pour le coup, a toujours été réel), des scènes absurdes, rocambolesques pour une comédie réussie, remplissant entièrement son rôle : chapeau !
Casting : 4/5 -> Bruno Salomone, l'acteur jouant Denis Bouley dans fais pas çi fais pas ça joue le rôle de Michael, le méchant qui veut faire vendre la clinique pour se faire beaucoup d'argent. J'adore cet acteur et son côté "stupide", toujours a recherché le bonheur, me plaît énormément. Helena Noguerra joue le rôle de Priscilla.
Scénario : 3/5 -> Une clinique est en perte... de clients ! Mais c'est alors qu'un accident de car survient, puis une embardée d'un camion dans un café, puis des accidents à gogo, tous aussi loufoques les uns que les autres se succèdent pour nourrir un scénario très caricatural avec une fin pas très fine : 5 ou 6 couples se forment (je ne les ai pas comptés tant ils se succédaient si rapidement), et tous ont un enfant (même la famille d'ours (désolé pour le "spoil" -> spoil signifie en anglais "gâcher", "gâter", ce mot s'emploie lorsqu'on dévoile, révèle la fin ou l'événement marquant d'un film).
Impression générale -> 4/5
La clinique récolte une note de 15,5 sur 20 de ma part, ce qui est très admirable étant donné l'angle de la caricature pris par cette comédie qui généralement n'a pas pour habitude de me plaire. Voilà une bien singulière comédie que je vous recommande si vous voulez vous divertir un petit peu (1h20), sans vous prendre la tête.
Ps : je cautionne le streaming, pas le téléchargement, en tant qu'il nous permet de se cultiver, d'apprécier des chefs-d'oeuvre, d'alimenter notre imaginaire et d'améliorer notre connaissance de la vie, de se divertir; et enfin d'enrichir notre capacité à trouver des solutions pour remédier à notre mal-être. Il est dommage qu'il ne puisse en être autrement, car je ne suis pas dupe quant aux pertes des cinémas, des producteurs, etc... mais c'est un avertissement au ministère de la culture, cela suffit de payer des millions dans des séries américaines, nous on veut des films français, qui certes font 60 000 spectateurs, mais apportent un peu de gaieté à notre quotidien.
"Juvenes translatores" est un concours de traduction destiné aux jeunes nés en 1995. Nous y participerons mardi prochain avec ma classe, j'invite tous ceux qui sont intéressés par l'aventure et qui sont actuellement en première à en parler l'année prochaine en début d'année avec leur professeur. Je pense que cela va être une expérience très enrichissante, qui commence déjà fort avec nos préparatifs que ce soit scolaires ou personnels.
Ce serait une rubrique qui accueillerait une note toutes les semaines donc hedmodairement (il faudrait que je fasse un article sur les adjectifs désignant les périodes) et rendrait compte de tout ce que j'ai pu ou parfois avez pu entendre ici ou là, dans la discussion de comptoir ou aux informations...
1)"Mange avec ta fourchette, nous sommes civilisés me semble-t-il." Et moi de répondre, "oui mais on peut être civilisé tout en étant différents les uns des autres. Et même si en mangeant sans ma fourchette je n'étais plus un "civilisé", serait-ce souhaitable que j'executasse le caprice et la coquetterie de tous sans aucune réserve ?
2)"10km/h sur le tapis roulant, tu t'imagines pas, je me prendrais le mur." -> remarque : depuis quand -à moins de ne pas placer son tapis roulant ingénieusement- on court en arrière ? A moins que cela ne soit là une "vantardise" de l'auteur, qui voulait exprimer sa pointe de vitesse... mais, pourquoi sur un tapis roulant ?
3)«Aujourd'hui, qu'est-ce qui est normal ?», je ne puis citer l'origine de ma source; mais en ce moment, avec cet adjectif qui fait polémique après son utilisation par le président, j'ai l'impression de l'entendre partout !
-Je traduis un livre de l'espagnol vers le français (à suivre, les enquêtes sur ce que la traduction implique)
-J'aimerais faire une rubrique "Les mots pour vous servir" qui donnerait la définition de mots couramment utilisés par la littérature, la presse, mais dont nous avons du mal à comprendre concrètement le sens. Et ce, en l'agrémentant d'un texte qui incorporait ces mots (de façon hebdomadaire)
-Je projette d'écrire un roman en 30 jours, je sais c'est un pari osé et à ceux qui penseraient que la qualité en sera médiocre, j'ose croire qu'elle ne le sera pas. C'est un peu fou, surtout en période d'intenses activités, mais je le releverais, durant le mois de décembre en plus ! Une expérience dont j'essaierais de vous rendre compte tous les trois jours. Ce défi est partit d'un article d'un magazine anglais : http://www.guardian.co.uk/books/series/how-to-write-a-book-in-30-days.
-D'autres projets sont en cours de réflexion, et je vous en ferais rapidement part.
J'aimerais avec votre complicité, connaître vos attentes, ce dont vous rêverez apprendre, comprendre, savoir de moi, de nous, de vous, des choses banales, de celles extraordinaires, etc.
A l'école, quand on m'a demandé d'écrire ce que je voulais être plus tard, j'ai répondu "heureux". Ils m'ont dit que je n'avais pas compris la question, je leur ai répondu qu'ils n'avaient pas compris la vie.
- John Lennon-
"La vie c'est comme une voiture, si tu perds les pédales, t'en es jamais bien récompensé"
Euh, celle-ci est de moi (petit prétentieux, va !).
Elle est énorme et savoir la faire est d'autant plus appréciable pour vos lecteurs. On pourrait aux premiers abords penser que ces deux conjonctions ont une signification identique, qu'elles servent dans les mêmes cas : pour donner une cause, se justifier de quelque chose.
Exemple : je vais me coucher parce que j'ai sommeil.
Or, puisque, s'utilise seulement lorsque votre interlocuteur connaît l'information.
Exemple : On vient de vous remarquer que vos yeux faiblissent. Là vous pouvez dire : "puisque j'ai sommeil, je vais me coucher".
Le "puisque" sert alors à justifier votre départ inopiné par une raison qui vous paraît évidente.
Surtout n'hésitez pas à marquer cette différence si un jour vous en avez besoin, c'est tellement plus plaisant d'utiliser les subtilités de la langue de Molière.
Une comédie légère, on en sort le sourire à la bouche, on a même envie de rester un peu plus longtemps (regarder le générique en entier, je ne l'avais jamais fait); mais c'est un peu vulgaire sur les bords. J'admire la finesse par moments dans l'écriture du scénario, comme la chute finale que je trouve absolument splendide.
Réalisateur : Olivier Dahan
Respect du rôle de comédie : 3,5/5 -> pas de blagues hilarentes, seulement des petits gags faits et refaits, même si on trouve tout de même quelques originalités par endroit
Casting : 4/5 -> des talents de renoms qui trouvent tout à fait leur place (José Garcia, Gad Elmaleh, Claudia Tagbo, Omar Sy, Frank Dubosc, etc...)
Scénario : 4/5 -> Sauver un club de football en reprenant les faits historiques comme la victoire miraculeuse de Quevilly contre des clubs de ligue 1, c'est un peu pris et repris dans toutes les comédies (sauver une entreprise en faillite). D'autant plus, que Quevilly, justement, est actuellement en faillite après avoir connu la gloire (il faudrait que Les Seigneurs aillent les aider...). Pas de moments d'ennui et une chute splendide.
Impression générale -> 5/5
Ce qui donne une note de 16,5 sur 20 pour Les Seigneurs.
Peut être un peu trop d'indulgence dans cette première critique de film (si on peut l'appeler ainsi), mais j'ai vraiment aimé la légéreté de cette comédie, même si elle ne m'a pas fait "éclaté de rire". On en ressort avec un esprit apaisé, sans avoir trop travaillé, juste à avoir apprécié un divertissement, digne de ce nom.