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En toutes lettres - Page 44

  • Fond du trou (037)

    Le vide signifiait la douleur. Et le vide, c'est bien ce qu'il y a dans le trou des films de science fiction (il ne faut pas croire que je travaille autant sur l'imagé dans la conception de mes blognotes !) ?

    Douleur qui m'est remontée d'un coup sec et qui continue légèrement à me tourmenter (j'écris le jour suivant à celui de la publication). Tout cela pour une clef ! Une misérable et foutue clef que j'ai malencontreusement égarée. Certes je ne suis pas très attentif à ce que je fais, je prends un peu de haut mes parents lorsqu'ils m'indiquent mes égarements, mais qu'y puis-je ? Si je fais abstraction de leurs conseils, ce n'est pas par plaisir, ou si, ça l'est, mais pour mon plaisir. Je ne prends pas plaisir à les contrarier, ça non ! Mais je prends plaisir à me faire plaisir et ne pas me laisse entraver par ce qu'ils me conseillent : de penser à des choses qui me semblent futiles. Non mais c'est vrai quoi ! Je n'aime pas cette société qui évolue de plus en plus dans cette conception du monde où on devrait se souvenir d'où on met ses clefs, d'où on met ses cartes, ses stylos; comment range-t-on ci, comment range-t-on ça plutôt que de se préoccuper de savoir si un et un font deux ou quel est le remède le plus efficace pour soigner ce pépin physique. Nous ne savons plus rien, nous ne saurons plus rien; nous nous condamnons à nous rappeler des lieux où on pose les choses, mais pas des choses elles-mêmes qui sont pourtant l'essence de notre geste.

    J'en ai parfaitement le souvenir de cette clef. Il est vrai que là où elle est (je ne sais pas où), elle ne me servira plus, et que je devrais faire un double; mais honnêtement un an et demi durant lesquels j'ai pu avoir davantage de moments dédiés à de l'apprentissage concret, quel prix cela a ?

  • Révolution populaire ? (036)

    Un petit poste politique, orienté "économie" pour changer !

    Est-ce démagogique que de vouloir proposer une réduction exemplaire des salaires de nos députés, ainsi que de supprimer le sénat et supprimer quelques postes de députés ? Je ne pense pas ! Mais j'aimerais beaucoup que vous me donniez votre avis dans les commentaires pour savoir ce que vous en pensez.

    Le plus dur resterait de faire adopter une nouvelle loi pour que ces postes soient supprimés, et qui devraient être votées par ceux qui tiennent le poste actuellement... c'est comme si on demandait à des ouvriers de signer la fermeture de leur entreprise... Alors, comment faire ?

    Le plus gros défi pour moi reste celui d'atteindre l'équilibre budgétaire (vont-ils vraiment tenir la barre de 2017 ?) ! Des idées pour y arriver ?

  • Il n'y a que toi qui puisse me lire (035)

    Il y avait un artiste dans mon groupe d'anglais. Je le côtoies une fois par semaine, lors de ce cours, depuis plus d'un an. Et c'est seulement maintenant que j'apprends un de ses talents (et encore, c'est un ami qui l'a démasqué [car les vrais artistes sont souvent modestes (pas toujours, il faut regarder ce que faisait Dali de sa personne...)]) ! Tout le monde connaît plus ou moins personnellement un "artiste"; mais qui connaît un "so fucki** brillant" dessinateur que lui ? Safet, c'est son prénom. "The World of Safet", c'est donc son monde qu'il nous expose. Il a mon âge et participe déjà dans des expositions ! Pas étonnant vu son talent ! Un petit tour sur page vous en donnera un bel aperçu : https://www.facebook.com/pages/The-World-of-Safet/579346388831389?sk=timeline

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    Je me suis toujours posé la question de savoir si vous préféreriez que je laisse intact mon blog une fois que les notes ont été écrites ou que je pourrais les modifier à foison, les enjoliver (encore que, on pourrait se demander aux yeux de qui elles le seraient...), les nourrir. Mais je pense avoir trouvé un bon compromis : faire des ajouts sans jamais modifier (sauf pour faute d'orthographe ou de syntaxe) mes blognotes et signaler cette nouvelle "matière à lire" (ou à ne pas lire, selon l'envie) dans la blognote qui paraîtra le jour suivant (ou dans un futur immédiat [je fais cette précision au cas où un lecteur de 2016 me lirait et se rendrait compte que mon projet de septembre14 de serait plus valable]).

    Je vous annonce pour commencer cette nouvelle manière de procéder que j'ai rajouté un paragraphe (le dernier de la blognote) sur le thème des prénoms, car je voulais vraiment mettre au clair mon ressenti face à la désignation des personnes, à l'importance qu'on leur donne, au panurgisme inhérent dont font preuve les parents qui cherchent la mode, ainsi que mon ras-le-bol face aux moqueries effrontées sur les prénoms.

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    Il ne faut pas réprimer ces instants ''revanchards'' où on chercher à tout prix à avoir raison ! Car c'est un sport saint que de débattre, tant qu'on parvient à tourner un peu plus loin du pot et à ne pas trop s'y frotter (ça peut faire mal à la peau et au pot, manque de pot, ce dernier en a pas (je voulais imaginer la suite)). Et aujourd'hui, c'est autour d'un emploie sur l'indicatif ou le subjonctif après une locution restrictive telle que "il n'y a que... qui", que je me suis battu et évertué de montrer que le subjonctif s'employait dans un tel cas. En réalité, les explications trouvées sont confuses et finalement assez souples : les deux peuvent s'employer avec une différence entre les deux très mineure !

    Un commentaire pertinent que j'ai trouvé sur forum "études-littéraires", se basant sur la grammaire Riegel : "Tu es le seul qui puisse le faire : C'est pour moi une hypothèse plausible. Mais je ne t'ai pas forcément déjà vu le faire, je ne l'ai pas forcément constaté.

    Tu es le seul qui peut le faire : Ma remarque est un constat; j'ai déjà constaté que tu pouvais le faire, je t'ai vu déjà le faire, c'est une réalité."

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    Rien n'est impossible, rien n'est écrit d'avance...

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    Une phrase marquante de la bande-annonce du film "Wild" : "Si c'est au-dessus de tes forces, dépasses-toi".

  • Prénoms en cascades (034)

    Il s'époumonait dans la cour : ''Basile a demandé l'asile, tandis qu'Eléna a intégré l'ENA''. Il martelait les rimes, les énonçait mille fois, y mettait tout son coeur, y ajoutait une ou deux longueur sur les dernières syllabes pour qu'elles fussent assimilées (comme si on ne les avait pas assez encrées en nous déjà) et les faisait voler en éclats, d'un coup d'un seul; parce que cela lui prend des fois. ''Sa parole elle l'honore, elle s'appelle Eléonore, il marque en silence, c'est un joueur de Lens''. Les paroles n'ont ni queue ni tête; ni corps d'ailleurs. Etaient-elles siennes ? Etaient-elles réelles ? Etaient-elles sous sa tutelle ? Il ne faisait pas dans la dentelle; il la rechantait à longueur de journée. ''Pour une belle mélodie, demande à Mélody. Pour de bonnes paroles, demande au compositeur, il tient toujours sa parole, ses paroles, rock and roll, c'est Carole, ça caracole, ça colle, pleins de moles, faire la folle, oooooollllllllllll..... é !''. La fin laissait un peu à désirer tout de même. Certes, ce garçon un peu perché -parce qu'il se tenait en équilibre sur la barrière qui délimitait un parterre, et ce dans le but de gagner un loup (non pas l'animal)- multipliait les écarts, mais c'est cela qui le distinguait de cette masse de gosses qui se prenaient pour des boss. Une jeunesse prise par la vanne facile, celle qui blesse, celle qui associe les prénoms avec des idées peu agréables, qu'elles jouent sur des assonances, ou sur des associations avec le physique de la personne. Comment redonner de l'intérêt à ces prénoms qui s'essouflent ? Comment souffler ses bougies heureux avec de tels prénoms ? Comment je m'appelle ? Cette dernière phrase, je la fais mienne, oui, oui, c'est moi Fabienne.

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    Ps : Ce petit texte m'est venu à l'esprit en entendant une amie du théâtre dire qu'elle ferait un enfant rien que pour l'appeler Natanael, prénom qu'elle affectait beaucoup et le faisait remarquer à l'intéressé. Il fait suite également à des blagues que j'ai composées récemment sur des personnes de ma filière, toujours dans le respect de la personne, avec un humour au ras-des-pâquerettes (est-il besoin de le préciser ? (que je ne suis pas jardinier ?)).

    Je trouve stupide la pratique des parents qui vont chercher les prénoms de leur future petite créature (appelons les choses comme elles le sont !) dans les livres ou dans les classements de ceux les plus à la mode, de ceux les plus originaux, les plus..., les plus...(société de l'addition, de la multiplication, de la surcharge, du surplus, etc.). Ne peut-on pas tout simplement s'accorder entre êtres doués d'intelligence sur un prénom qui sonnerait bien à nos oreilles ? Si j'ai envie d'appeler mon enfant Rissa (forte influence de l'espagnol sur mon inconscient, ''risa'' voulant dire ''rire'', un prénom pétillant !) ou Pamil (encore que là ça m'amènerait à faire des jeux de mots pourris comme : "passant, Pamil")... pourquoi le maltraiteriez-vous ? Parce que vous n'êtes pas respectueux de la culture que ses parents ont voulu répandre ?

  • Ouah ! (033)

    Beaucoup diront que c'est bien-pensant, à la limite du démagogique de dire que la vie est une montagne russe, pourtant c'est réellement l'image qui décrit ce que l'on peut vivre durant certaines périodes avec ces hauts et ces bas (mon père travaille dans une usine d’ascenseurs, et il est tombé de haut en apprenant que son poste pourrait être bientôt supprimé [je me permets de prendre la situation avec humour, car lui-même n'a pas l'air d'en souffrir ou de s'en inquiéter du moins]). Alors que je vivais ces deux derniers jours, des moments difficiles à cause de cet ordinateur qui à mit à mal de nombreux fichiers très importantes (de plusieurs dizaines et atteignant parfois la centaine de pages); je suis passé désormais dans une période de bonheur avec pleins de choses qui me sourient (du temps pour réaliser ce que je souhaite faire, des relations avec mes amis au beau jour, des réunions et des rencontres en athlétisme et en théâtre à venir qui ne font que me réjouir, etc.). D'ailleurs le mot "démagogique" que j'ai utilisé plus haut mais fait penser aux notions de conformisme et d'anti-conformisme qui m'inspirent un état dans lequel je me trouve, qui se situe entre les deux :

    Politiquement correct de Bénabar : https://www.youtube.com/watch?v=X_I5YrBaUfw 

    La mauvaise réputation de Brassens : https://www.youtube.com/watch?v=26Nuj6dhte8

    Je dois la réussite de ma journée notamment aussi à la re-découverte de beaucoup de chansons et chanteurs qui avaient bercé mon enfance. C'est le cas de Superbus, ce groupe de rock français des années 2000 ! Beaucoup critiqueront le fait que leurs chansons sont vielles, mais pas besoin d'avoir super-bus (oui, et je suis fier de cet humour si nul) pour ré-écouter leurs chansons dénonciatrices de notre société. Voici leur titre "à la chaîne" : https://www.youtube.com/watch?v=rMMdkKXdF_Q. Quand je disais mon enfance, je me référais aussi et surtout à ma petite enfance (oui je compte les degrés d'enfance, car je me considère encore très jeune) avec Emilie Jolie ! Avec notamment la chanson du hérisson qui m'avait marqué à l'époque [j'ai l'album !] (j'aimais déjà les sonorités et les paroles absurdes) : https://www.youtube.com/watch?v=mpVea2uC1ew Je préfère cette version de 2002 à celle de Brassens (1979) toutefois; j'ai appris aujourd'hui seulement qu'il l'avait interprétée.

    Et j'aurais presque pu faire une blognote sur ce formidable chanteur que fut Brassens car j'ai entendu pour la première fois aujourd'hui "Le parapluie" et je dois dire qu'elle m'a bien plu. "Un petit coin de paradis contre un coin de parapluie, je ne perdais pas au change, pardi" : https://www.youtube.com/watch?v=R8cr1Jzbf2o

    J'ai découvert cette chanson par le plus beau des hasards en visitant un site sur les films d'animations russes ! Et voici la vidéo de cette-même chanson, mais en russe et avec une animation faite par un russe : sublime ! 

    Et c'est sans parler de blink182 : "All the small things"... Toutes ces petites choses cumulées font que j'ai vécu une bonne journée !

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    Je vous parlais récemment (dans la blognote n°024) de cet enseignant anglais qui allait faire une nouvelle série de vidéos pour nous permettre d'apprendre de manière ludique (ludiquement n'a pas l'air d'être accepté par aucun dictionnaire, quelqu'un pour me confirmer cette étrangeté ?) l'anglais. Et bien voici la première qui vient d'être publiée... et je ne suis pas déçu !

    Ces cours ne s'adressent pas seulement au tout débutants mais aussi à ceux qui ont déjà quelques années d'expérience car ils nous permettent d'apprendre des expressions très utiles. La qualité pédagogique, les mimiques et expressions favorites de Mr Duncan me font apprendre facilement du nouveau vocabulaire.

  • Réinitialisation (032)

    Après le temps des problèmes, voici celui de la réinitialisation. Qu'il est long, mails qu'il est long cet ordinateur à se remettre comme neuf, à se défaire de toutes les installations, de toutes les données qu'il a pu conserver lors de mes différentes utilisations. J'ai adopté depuis longtemps et avec succès l'attitude d'apprendre de l'échec et je vais continuer sur cette voie. Ce contretemps va me permettre de revoir mon organisation (sécuriser mes données en les sauvegardant plus souvent sur un disque dur externe comme me l'avait conseillé mon papa (on n'écoute jamais assez ses parents)). Je vais dorénavant m'appliquer à diversifier mes pratiques pour continuer à stimuler cette petite créativité qui sort de temps à autre (et cela commence dès aujourd'hui par l'écriture entière de la blognote depuis un smartphone (processus plus long mais donnant une approche différente car plus de temps pour réfléchir à ce que je vais écrire)).

    Je recommande vivement à tous les Pixariens (pour leur donner un nom) de regarder Toy Story 3 si ce n'est pas fait. Toutes les suites ne sont pas moins bien que leur premier opus... J'en veux pour preuve ce troisième épisode déjanté et drôle des aventures du petit cow-boy et de toute sa clique. Il me semble avoir déjà avoué mon amour pour ce film sur ce blog, fonc hevais m'arrêter là. C'était juste parce que j'ai pu voir dans "recherche appartement ou maison" (un type de programme télévisé que je trouve inutile... Je regardais furtivement car mes parents le regardent assee souvent) un couple qui s'était embrassé pour la première fois en voyant ce film. Buzz l'éclair en espagnol donnerait des ailes ? Je réfléchis depuis le début de ce projet septembre14 à un type de blogging participatif, sans trouver de réelle idée. Que tous ceux qui souhaiteraient promouvoir quelque chose ou qui voudrait exprimer leur raisonnement, leur créativité à plusieurs plumes me fassent signe !

  • Problèmes... (031)

    Je n'ai pas de plantations, et je préférerais en avoir que des plantages...

    Je n'ai jamais eu le moral aussi bas depuis plusieurs années, juste à cause d'un problème informatique :/ Comment peut-on accorder tant d'importance à son outil portable ? En l'utilisant chaque jour et en s'en servant de support de toutes créativités et de toutes pensées, de bloc-notes, de fichiers assez complets (30 à 50 pages, voire plus)... Et beaucoup de fichiers importants viennent de m'abandonner (dont l'espa'mag n°2 hors-série qui accusera un nouveau retard a priori [tant qu'il y a de l'espoir...](je préfère ne pas donner de date et essayer de garder pour objectif le 15 octobre, même si cela paraît impossible désormais)). J'ai également perdu dans l'affaire la moitié des cours de l'année qui vient de commencer (l'autre étant rédigée à la main sur des feuilles (ouf !)). J'avais raison de me méfier à moitié de la technologie.

    J'avais commencé à noter l'apparition intempestive de publicités. Je n'ai pas réussi à installer adblock... Puis sur un site de streaming (aucune publicité, à défaut d'admettre que je suis friand de ce type de visionnage), je ne pouvais plus regarder deux minutes d'une série [Breaking bad] sans que ma page ne soit pas redirigée vers un site. Impossible de mettre la main sur le malware (virus).

    J'ai opté pour la solution radicale de réinitialiser windows 8, mais je ne sais pas si je vais retrouver le niveau où j'étais. J'avais plein de ressources, de documents, de données qui m'étaient utiles au quotidien (comme le calendrier des semaines qui viennent, que je n'ai pas en tête [et pourtant, je fais souvent des efforts pour mémoriser des événements, des numéros de téléphone, etc.].

    Bref [oh mon dieu, je viens de me donner envie d'en revisionner quelques-uns (j'adore le côté dynamique, un peu moins les blagues en dessous de la ceinture à répétition)], mon ordinateur m'a abandonné.

  • Ne cherchez pas la bébête (030)

    Cette bébête qu'on ne distingue pas parmi l'amont de terre et d'herbe... pourquoi allons-nous la chercher ? Peut être parce que nous sommes des perfectionnistes ? Ou des botanistes ? Ou des personnes qui s'occupent d'étudier la faune et la flore ?

    Toujours est-il que je suis parti explorer cette semaine des chansons des années 70 et 80, et je vous ai retrouvé quelques pépites comme cette Annie Cordy, toute en poésie et bonne humeur : 

    Si vous adorez le style, je vous recommande vivement de jeter un coup d’œil (ou plutôt d'oreille) à celles de Bourvil !

  • Amour inconditionnel (029)

    Non je ne me suis pas épris pour ce temps qui évoque l'incertitude (mot que je ne connais que très rarement, par chance)... mais bien pour cet amour qui dépasse des frontières (si tant est qu'il puisse y en avoir). Aimer l'amour (le sentiment, qu'on s'entende bien), c'est possible ?

    Je suis fou d'amour... de celui chanté par fou (complètement décomplexé, charnel) et celui chanté par Elvis Crespo (suavemente -> doucement). "Suavemente, besame, quiero sentir tus labios, besandome otra vez" -> (doucement, embrasse-moi, je veux sentir de nouveau tes lèvres m'embrasser).

    Tu veux ou tu veux pas ?

    La nouvelle comédie emportée par Sophie Marceau et Patrick Bruel. Je désirais voir ce dernier jouer dans un autre film que celui qu'on a l'habitude de connaître : "Le prénom" (un film magistral, à regarder si ce n'est pas déjà fait), et sa prestation dans cette comédie est pas mal, mais pas extraordinairement bonne. Sophie Marceau y est en revanche, excellente, rien à redire, une grande actrice. Des situations incongrues à foison, une certaine dynamique orale (malgré les scènes statiques) et un bon angle de départ (parler ouvertement de sexe) font selon moi de cette comédie une réussite, même si (je ne ferais pas de blague facile) ce ne sera pas le film de l'année (et même du mois, j'espère trouver mieux). Pas de prise de tête, moment sympathique garanti !

  • Pour ta gouverne (028)

    Pour ta gouverne

    Origine de l'expression : "Cette expression date du XVIIIe siècle. Elle emploie le terme « gouverne » qui fait référence au gouvernement, à l'institution qui indique la conduite à tenir lors d'une situation. Il s'agit donc d'annoncer une information importante, une règle de conduite." Source : linternaute.com

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    Bug de google chrome

    Pas de casse, mais cela m'a fait perdre pas mal de temps pour le désintaller et le réinstaller.J'espère que le problème est résolu. Comme je suis très fan des pages bien remplies, j'ai perdu ma trentaine d'onglets différents, que je vais mettre des heures à retrouver dans l'historique (la seule vraie perte). Cela m'apprendra d'être trop gourmand...

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    "Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien" Socrate

    N'oublions pas cela. Nous n'avons pas la science infuse, et ne l'aurons jamais. Acceptons-le et définissons-nous par nos propres choix, envies et sachons savoir être modeste !

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    Ce t-shirt qui fait scandale

    L'apparence peut vous coûter cher, c'est ce que j'ai appris à mes dépens. J'avais acheté l'année dernière un t-shirt pour son prix, sur lequel était écrit : "La perfection c'est moi" (enfin l'imperfection, avec le "im" barré). Cela a été critiqué dans mon dos et je passais au moment même où la personne en parlait et lui ai donné peut être la peur de sa vie car elle s'est immédiatement tut lorsqu'elle me vit (trop tard hélas pour elle). Je n'éprouve absolument aucun ressentiment pour elle, mais suis déçu de son comportement, surtout qu'elle ne m'a pas fait de remarque lors de cette soirée. D'autres ont très bien su me faire remarquer avec humour que je prenais un peu en chevilles. La vérité est que je ne souhaite aucunement montrer quoi que ce soit, devenir vantard pour un rien; c'est même tout le contraire... Seulement, il suffit de porter quelques lignes sur son t-shirt choisi pour son prix et non pas pour le style qu'il pourrait t'apporter, pour se décrédibiliser. Je ne compte pas pour autant changer tout le contenu de mes armoires et continuerait de porter ce dit t-shirt pour l'utilité dont il fait preuve, car n'oublions pas que c'est avant tout pour nous protéger des intempéries et de la pudeur généralisée qu'ils existent !