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Vous avez eu une étrange pensée en lisant le titre, pas vrai ? Qu'on se rassure, je ne prône pas la décadence extrême.
Les frères ont la cote ! L'amour a (toujours) la cote ! Cet été se sont révélés deux groupes de chanteurs qui sont frères et chantant sur ce thème, entre autres, : Fréro Delavega et The Shady Brothers. Des premiers, je garderais le "sweet darling" et des seconds "Addicted to your love".
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C'est le 64ème jour du projet Septembre14, et pourtant, j'ai toujours l'impression que c'est le premier ! Quel plaisir que de m'auto-analyser, que de pouvoir re-parcourir ce qui jadis me plut et constater des écarts, ajouter, laisser, enlever (seulement quand l'erreur peut s'avérer par des faits concrets et non quand c'est une erreur de jugement), etc. Jour1... Louane, une autre très belle chanson d'amour :
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Des scientifiques ont étudié l'effet des musiques tristes sur l'être humain et... elles nous rendent heureux ! L'effet positif serait particulièrement accentué si la personne triste est encline à l'empathie. Dans la liste figure notamment "Sonate au clair de lune" de Beethoven. Personnellement, je préfère "la lettre à Elise".
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Et pour terminer sur une note positive : Manière de voir de Le Monde diplomatique m'a appris aujourd'hui qu'un projet a été lancé en Inde et visait à offrir sans distinction particulière 200 roupies (3€ au grand mot) par mois à une population de 4 000 personnes, répartie dans plusieurs villages de l'Inde. Au final, les dépenses réalisées avec cet argent ont été positives et cela n'a pas été de l'argent gaspillé (contrairement aux clichés qui voudraient nous faire croire que donner aux pauvres leur permettrait d'acheter des choses qui leur serait inutiles). La plupart ont pu payer les études de leurs enfants, s'acheter une machine ou encore des bouts de terre; vivre sans trop de dettes, pouvoir investir dans des conforts que nous prenons comme acquis mais qui ne le sont pas pour eux (un bon sommier, une petite télévision, etc.).
Pour réduire la pauvreté en France, c'est autre chose. Si on donnait de l'argent à un Sans Domicile Fixe, il partirait de suite s'acheter du tabac, de l'alcool, afin de vivre "mieux" son état actuel. Alors pourquoi pas, comme j'ai entendu dire un étudiant, leur donner des chèques-restaurants ou faire une initiative de cet acabit ?
Cette année, je me suis intégré au projet d'une amie afin de présenter "Marcia Hesse" de Fabrice Melquiot. C'est un drame contemporain qui m'a tout de suite plu à la lecture de la note de l'auteur, et au résumé qu'elle m'en a fait. Je ne l'ai pas encore lu, mais je vais voir ce soir les personnes motivées par la même pièce; j'ai hâte !
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Le monde associatif est un fonctionnement qui m'a toujours plu et je vais m'y intégrer de plus en plus dans les années à venir; en prenant dès cette année la vice-présidence du club d'athlétisme regroupant des athlètes de plusieurs localités environnantes. De nouvelles responsabilités à assumer donc, j'espère pouvoir les honorer et que ce projet me soit au maximum formateur afin pourquoi pas de me lancer moi-même pour en créer une à caractère humanitaire (j'ai ce rêve depuis le retour du Togo, il y a trois ans).
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Pour tous les amateurs d'écriture de nouvelles, il y a un concours qui durera 48 heures du vendredi 21 novembre 19h au 23 novembre même heure et qui a regroupé pas moins de 1400 auteurs l'année dernière. Des gains pour les meilleurs et un surpassement de soi pour ceux qui se seront pris au jeu; car je trouve que c'est un excellent moyen pour écrire et ne pas juger ce qu'on écrit. Ainsi, on lâche simplement ce qui nous passe part la tête, car sinon, on a pas le temps de terminer la nouvelle. Vous y participerez ? Je posterais évidemment le résultat sur ce blog !
Oui ! Si, si, cela approche à grands pas. Certes, je ne suis pas très friand de ces fêtes commerciales, et je suis le premier à me plaindre de ce qu'est devenu Halloween, le jour de l'an, l'épiphanie; mais là pour noël, il faut mettre une exception ! Disons que oui, c'est commercial; mais, le côté festif et illusoire est tellement puissant que le commercial est mérité (attention : pas tout le temps). Cette fête est une vraie source d'inspiration, de magie ! C'est beau de voir les yeux des enfants pétiller à l'évocation de l'arrivée du grand bonhomme rouge. Même les grands participent et prennent plaisir lors de ce jour spécial (double jour même !). C'est pourquoi les productions évoquant/traitant cet événement sont nombreuses et souvent de qualité. J'en veux pour preuve le film suivant qui part d'un très bon angle de départ ! Hâte de voir ce que cela donne !
Voici la bande-annonce de 'le père noël' - Le film sort le 10 décembre au cinéma.
Sketch sur Arsène Lupin d'Arnaud Tsamère (regarder vers les 22") :
La littérature n'est pas en reste avec Charles Dickens et son conte "L'arbre de noël". Je vous laisse apprécier l'humour critique de cet auteur, comme lorsqu'il parle des lutins : "il y avait de petits hommes à la face réjouie, beaucoup plus agréables à voir que bien des hommes réels".
J'ai lu cette nouvelle après avoir écrit le début de ma blognote et voici ce qu'on peut y lire : "me laissai aller à l’idée que rien dans la vie réelle ne vaut peut-être les douces illusions de l’âge des arbres de Noël et de tant d’autres arbres enchantés.".
J'ai une amie qui me racontait qu'elle parvenait à faire des nuits de treize heures. Je ne sais pas si cela est biologiquement possible sans que cette longue période ne soit pas perturbée par de légers réveils. Mais ce qui est sûr, c'est que cette nouvelle m'a marquée. Comment peut-on passer plus de temps à dormir qu'à découvrir le monde ? Elle ne semblait pas avoir de justification particulière pour expliquer ce sommeil interminable. J'espérais qu'elle invoquerait une grosse fête, une très longue dissertation de français ou une journée épuisante... mais au lieu de cela, rien. Nous ne sommes définitivement pas constitués de la même manière !
"On reconnaît le bonheur au bruit qu'il fait en partant." Katherine Pancol
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Je suis "presque" angevin et le dictionnaire attribue le verbe "requinquer" à ma région... J'espère que vous l'utilisez partout en France, parce qu'il devrait servir à pas mal d'entre nous ! Le dimanche est un de ces jours fait pour se requinquer. Bonne semaine à tous !
Vous souvenez-vous de ''Qui veut la peau de Roger Rabbit'', ce long-métrage d'animation sorti en 1988 ? [Grosse digression : C'est pas parce que c'est Halloween que tout le monde doit regarder un film d'horreur. Cela me fait rappeler une réplique culte de Claire Jaz, prononcée par Jérémy Ferrari dans le sketch ''Intouchables'' de Florent Peyre (on dirait les poupées russes)... qui était : ''ce n'est pas parce que c'est un film sur les handicapés, qu'il doit n'y avoir que des handicapés dans la salle. Parce que quand il y a eut la marche de l'empereur, il me semble pas qu'il y avait des pinguoins.''.] C'est la dernière cassette dont je me souvienne ! Je l'ai tellement vu ce film quand j'étais jeune, et je l'adorais. Ce film est passé hier sur 6ter (une des nouvelles chaînes de la TNT) et je n'ai hélas pas pu le voir. [au passage, le titre de la blognote d'hier faisant en partie référence à cette programmation] Mais je me suis rattrapé aujourd'hui, en le voyant en streaming (je me le suis permis car j'ai acheté la cassette (je ne sais pas si elle fonctionne toujours, je crois qu'on a plus d'appareil pour le vérifier) et le film n'est plus exploité). Je continue d'adorer l'humour absurde de ce film d'animation. Pour les amoureux de Mary Poppins, je vous le recommande car l'alternation des passages (entre animation et prises de vues réelles) est similaire entre les deux films. Un bijou, comme on n'en fait plus. Nostalgie quand tu nous tiens.
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Le sauvage attire. L'état sauvage fascine. J'en prends pour preuve l'excellent film ''Into the wild''. Et maintenant, cette bande-annonce d'un film très prometteur, au nom très sobre ''Wild'' :
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Je ne peux vous dévoiler grand chose sur un de mes projets et cela me chagrine un peu de devoir le garder pour moi, pour le moment; alors que j'aime partager. Mais néanmoins, je peux vous dire que cela concerne la réalisation de A à Z d'un jeu de société ! Vous avez bien lu ! J'ai parlé de cassettes et de jeux de société dans une même blognote; mais, non, je ne suis pas nostalgique, non je ne suis pas vieux jeu {involontaire}; j'aime seulement conserver les bonnes choses et apporter de nouvelles encore meilleures. Je garde l'idée pas encore exploitée à la demande de mon frère qui va l'élaborer avec moi. C'est mon père qui a eu cette idée que j'ai trouvé intéressante et souhaité réaliser. Un jeu de famille {grr, deuxième allusion involontaire}.
Je pense aussi que le jeu de société va permettre de retrouver un peu plus de lien social entre tous. Et je vous mets au défi de trouver des applications qui soient drôles, qui permettent d'apprendre et aient un côté social. Mon petit frère a déjà adhéré à l'idée et attend avec impatience qu'on le termine. Je vous dévoilerais le tout début vers mai/juin 2015 (car nous allons certainement déposé une espèce de protection, à la demande express de mon frère, que je soutiens car cela pourrait être une belle opportunité).
Il est vingt-trois heures dix. Un problème avec la plateforme hautetfort me met la petite boule au ventre. Vais-je pouvoir continuer mon challenge d'écrire et publier une blognote par jour ? Si je parviens à la mettre en ligne quelques minutes plus tard, cela ne sera pas trop grave, je me le pardonnerais (je me le suis déjà pardonné 3 fois depuis le début du défi); mais plusieurs heures... je ne sais pas. Cela ne change rien pour vous, puisque quand vous lirez cette blognote, elle aura été publiée ! [Il faudra me croire sur parole que je l'ai terminée dans le temps imparti !] N'empêche, ce n'est pas vraiment sympathique les problèmes informatiques (même l'habitude n'y fait rien).
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Notre professeure d'anglais nous a redonné le goût de sa matière avec une simple idée. Depuis le dernier cours, nous sommes impatients (je me permets de parler en le nom de personnes car j'ai ressenti chez elles le même intérêt) de nous revoir pour continuer l'exercice commencé et tant amusant. Nous avions constitué des groupes de quatre et devions commencé une histoire, puis nous échanger les feuilles entre groupes, et continuez l'histoire du groupé précédent, et ainsi de suite. Une idée toute simple qui a fait des grands bonheurs puisque les idées ont fusées et les rires se sont fait entendre. Un ''lâcher-prise'' qui fait du bien ! Et qui permet mine de rien d'inventer ''un commando de pigeons d'élite'' (repris dans ma nouvelle ''Il faut trancher'' [blognote n°053] avec l'accord de la personne qui a eu l'idée) !
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En parlant d'oiseaux... Il y en a quatre qui me font plutôt rire (et je n'hésiterais pas certainement à sa sortie à aller le voir). Un extrait de 4' des pinguoins de Madagascar qui est absolument génial :
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En changeant totalement de registre, je suis allé voir ''Annabelle'' au cinéma aujourd'hui (je bénéficie de fortes réductions grâces au conseil d'entreprise de mon père (ceci explique cela)), et je suis resté mitigé. Je n'irais pas jusqu'à blâme le film comme l'a fait la critique (elle obtient difficilement la moyenne sur allociné de la part des spectateurs, et encore moins de la presse). C'est un bon film, sans exceller. Il a beaucoup de mal à nous faire peur pendant la première heure et quart, mais les vingt dernières minutes sont vraiment ''flippantes'' et ''émouvantes''. A tel point que je suis ressorti pour la première fois du cinéma avec les mains moites. Je lui donnerais un 14 sur 20. Cela manque d'originalité tout de même, avec notamment la scène de la machine à coudre qui s'accélère et l'arrière-bruit fort, ce film d'horreur véhicule des clichés. Un bon moment donc, mais il y a mieux pour se faire peur (n'est-ce pas les adolescents ''tapageurs'' ? Un petit ''Shining'' chez soi vous sera certainement plus utile et permettra de conserver en bon état les sièges de nos multiplexes.).
Le Golden Moustache revient en force avec de l'improvisation ! Après plusieurs sketchs vraiment nazes, il leur aura fallu seulement un jour pour les rebooster et nous rendre de nouveau addict à leur imagination débordante et jouissive :
Ne pas bouger d'un iota pourrait devenir ne pas bouger d'un Yoda pour dire qu'on est autorisé à bouger un petit peu mais pas à faire des gros bonds comme peut le faire ce maître "des constructions linguistiques à l'envers".
Il faut savoir accepter les échecs pour repartir de plus belle. Tout cela n'est que chiffre, n'est que résultat. Efficacité, efficacité, efficace, efficacement... il ne manque plus que le verbe 'efficacer' afin de pouvoir aisément réprimander quelqu'un en lui disant ''efficace mieux que cela''. Je ne comprends plus ma position par rapport à cette société. Je suis en dehors et je suis dedans, j'ai un pied sur les deux et je fais parfois le grand écart, parfois je me tiens parfaitement stable car ces deux pieds sont côté à côté, même enlacés parfois. Je me prends au jeu et je recherche souvent la performance (que ce soit en course [et ça m'a valu une grosse déception ce matin sur 10 kilomètres], en cours, en projets, etc.). Beaucoup se demandent où est le plaisir à se faire du mal pour progresser ? Dans la progression que l'on constate, dans le moment intense où on réalise les efforts endurés, les souffrances acceptées et qui nous ont permis d'être ce que nous sommes aujourd'hui : de nous aimer, de nous haïr, de nous construire, de nous déconstruire, mais en somme, de toujours nous faire vivre ! Et qu'est-ce qui peut avoir davantage d'importance que cela ?
Je ne pense pas que le monde soit petit, comme on a tendance à le dire. Il s'avérerait plutôt que nous n'ayons pas l'esprit assez large pour pouvoir éviter les pièges de la routine. Si nous rencontrons sur notre passage, des personnes qui ne devraient pas être là, mais qui le sont pourtant, c'est que notre destination n'est pas assez originale; elle rentre trop dans les carcans de la publicité, de nos influences quelconques. Il existe des centaines de milliards de lieux où se trouver à chaque instant, et il faut absolument que nous nous rapprochions, alors que nous pourrions tous s'éloigner les uns des autres. Peut être sommes-nous en train de renier le fait que nous nous aimons tous, et nous sommes là pour nous entraider dans les étapes difficiles que nous réserve la vie ? Je pencherais pour cette option !
Le titre est ironique. Je n'avais pas besoin de ce changement d'horaires diantre (oui, il y a encore des d'jeuns qui s'inspirent des aînés... même s'ils en gardent pas toujours le meilleur). Ce n'est vraiment pas l'idéal pour quelqu'un qui a une course le lendemain de voir son sommeil perturbé. Enfin, à ce que j'en ai compris, on gagne une heure; donc le mal est moindre, mais tout de même ! J'espère que mon corps s'adaptera à cette épreuve avant la course (celle-ci n'en étant pas une, mais plutôt un plaisir, une fraîcheur ou comme je me plais à la nommer une "désintoxication des poumons".
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Le Brésil, un pays qui fait rêvé (même si un peu moins depuis la coupe du monde de football, enfin pour moi tout au moins). Le portugais, une belle langue. Le Portugal et une petite ville Porto, où à une petite centaine de kilomètres est produit un des vins les plus célèbres (dont je ne connais pas encore la saveur, et ne suis pas forcément pressé; et suis en retard par rapport à mon tout petit frère lorsqu'il avait quatre ans qui en a bu... par erreur (en prenant le verre de ma mère [c'était des verres de camping qui se ressemblent tous entre eux])). J'ai commencé à apprendre par Duolingo le portugais, mais n'ait pas accroché plus d'un mois, à cause de la reprise des cours. Cependant, je repense souvent à le reprendre. En attendant, j'adore écouter quelques airs musicaux et des paroles dans cette langue. Et quel ne fut pas mon plaisir en écoutant retentir cette chanson à la fin d'un court-métrage d'animation (qui m'a pas trop plu lui par contre, et dont j'ai zappé, hélas, le nom) :
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Nous ne savons pas combien de muscles sont sollicités lors d'un sourire ou d'un froncement de sourcils, mais ce que nous savons, c'est que le premier sera toujours privilégié dans n'importe quelle situation. Il a le pouvoir d'attendrir, de réconforter, d'avoir des effets bénéfiques puissants, impacts sur ton entourage; tandis que quand est-ce que vous avez vu une personne grincheuse, froncer les sourcils et réussir à quelque chose ? Quelqu'un a-t-il déjà résolu une énigme en se mettant en colère ? Non ! Comme lors de la scène finale de Harry Potter 7, 2ème partie [oui, je l'ai revu aujourd'hui; et ceux qui souhaitent le voir, il passe demain à la télévision] le suggère très bien; lorsque les protagonistes se demandent quoi faire de la baguette de Sureau (la plus puissante des baguettes pour les non-initiés (auxquels j'invite à découvrir expressément cette oeuvre magistrale), le pouvoir est nuisible. C'est pourquoi Harry décidé de la casser en deux et de la jeter dans le néant.
En attendant pour les fainéants, la plupart des études s'engagent à dire que sourire est moins sollicitant musculairement que le froncement de sourcils (il est souvent annoncé le chiffre de 17 contre 43)... à bon entendeur !
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Et pour fermer la boucle, je vais pousser un petit cri d'énervement : Pourquoi diantre (j'avais annoncé que je la fermais... (la boucle, hein ?)) faire des bande-annonces de 3 minutes qui révèlent toute l'histoire ? Autant faire un court-métrage si c'est pour condenser un film en y mettant tout l'intérêt qu'il a. Revenez à quelque chose de plus sobre dans l'intrigue montrée dans la bande-annonce. Producteurs, je vous engage à faire davantage de "teasers", c'est un très bon exercice, qui vous permettra de ne pas faire des déçus en masse et de jouer votre peau (vous gardez pour vous si le film est bon ou pas puisque la qualité narrative serait plus ténue dans la bande-annonce et ne nous permettrait plus de la juger; mais en revanche vous vous exposez à une sévère réprimande et le risque de ne plus nous revoir pour la suite de la franchise). Je crois qu'ainsi les efforts seraient davantage concentrés sur le film en lui-même que sur la publicité intempestive qu'il en est désormais faite et qui doit certainement avoir un coût. Lequel ?
Cela va être difficile à croire, et pourtant, je me reconnais énormément dans ce court-métrage que je vous présente aujourd'hui. "Rien à dire" (réalisé par Jérémy Strorhm) c'est de la critique, c'est de la chanson, c'est des sourires qu'on décroche tout au long des douze minutes; c'est génial ! Un joyau qui en dit beaucoup sur ceux qui n'ont rien à dire...
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Stromae sur la bande originale d'Hunger Games 3, j'ai hâte ! Il reste dorénavant moins d'un mois avant sa sortie dans les salles. Et j'ai une place à moins de quatre euros pour ce jour-là, si je trouve quelqu'un d’intéressé (ce qui devrait pas être trop dur, tellement il promet !).
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Je crois que j'ai un sérieux problème d'attention, je n'arrive pas à mémoriser beaucoup de choses d'un film ou d'un livre et ce, même si celui-ci me passionne; d'ailleurs je ne fais que voir et lire ce qui me passionne (quasiment, parce qu'il faut aussi laisser sa chance à ce qui pourrait nous passionner mais qui à l'instant où on se lance ne nous faisait pas rêver), donc je ne comprends pas. Et je trouve cette intervention D'Apollo Robbins absolument bluffante : http://www.ted.com/talks/apollo_robbins_the_art_of_misdirection?language=fr#t-300767
Après une petite réflexion, cela pourrait avoir un rapport avec ce qui a été dit plus haut dans la blognote : le fait que je ne communique pas sur mes lectures et visionnages fait peut être que les informations m'échappent, naturellement.
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Quand je vous parlais [référence à la blognote 048] des feuilles d'automne qui foisonnaient à cette époque sur internet, je ne pensais pas si bien dire : je suis tombé aujourd'hui sur cette note de leblocnote.fr : http://leblocnote.fr/couleurs-dautomne/. C'est joli l'automne, je crois que l'on peut s'accorder sur cela, mais est-ce que cela vaut le coup que cela envahisse Internet si il envahit déjà nos rues ?
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Information insolite : Des enfants d'un couple décédé ont envoyé leurs cendres (pas les leurs, hein ? c'est bien celles du couples...) dans l'espace pour 2 200 euros ! Je trouve cela absolument ridicule. Même la métaphore ne me plaît pas : ils ont fait cela car ils avaient l'esprit voyageur. Mais lorsque tu es voyageur tu sais où tu vas, tu sais ce que tu visites. Lancé dans l'espace, tu ne sais pas où tu vas te répandre. Ceux qui voyagent sans connaître leur destination sont appelés des nomades, sans doute n'était-ce pas ce qu'ils faisaient ? Moi j'ai eu cette pensée assez mignonne : "c'est bien on va recevoir des morceaux de cendre sur le visage bientôt, on va pouvoir se dire, ah quelqu'un a vécu par là !". Et cet argent gâché... besoin d'en parler ? Non mais honnêtement, revenez un peu sur terre les gens, parfois c'est nécessaire. Pourquoi penser à son propre égo et penser que ce serait bien pour eux, alors qu'ils n'existent plus ? et pourquoi ne pas a voir donner leur argent plutôt à la nasa, afin que celle-ci puisse envoyer des personnes sur mars ? Un pas pour la science, c'est mieux qu'un pas pour soi-même (ou je me trompe ?) ? Enfin c'est un exemple, il y avait mille façons de mieux utiliser son argent dans cette situation, selon moi...
Pas super "emballé" par la bande-annonce de Samba, j'ai tout de même opté pour aller voir ce film des désormais deux célèbres compères : Eric Toledano et Olivier Nakache. Très touché par Intouchables (je ne pouvais pas me permettre de l'éviter), j'ai voulu refaire l'expérience d'un film avec Omar Sy et... je n'ai pas été déçu ! Contrairement à ce que nous laisse la bande-annonce (misérabilisme et semblant d'humour), le film réussit à émouvoir et à faire rire ! Il y a ces moments prenants où on se sent pris à partie, ces moments où on rentre dans l'intimité de deux êtres qui apprenent à se découvrir, ces moments drôles avec des comiques de situation, des comiques de répétition, etc. Je ne connaissais pas Charlotte Gainsbourg et je trouve qu'elle se défend bien dans son rôle, même si ce n'est pas celui que je préfère dans les "second rôles" (entre guillemets car en réalité c'est un premier rôle, mais comme il y a Omar, on ne peut que relayer tous les autres personnages au deuxième...). La presse loue le film avec 3.7 sur Allociné (comme Intouchables), le public un peu moins (3.3 et "seulement" 10ème meilleur démarrage de l'année). Allez, hop, hop, hop, il faut aller acheter sa place !
Et aussi...
Je n'avais pas tilté à son visionnage -seulement en faisant quelques recherches sur ce nouveau film- mais les réalisateur de "Samba" et d'"Intouchables" ont également réalisé "Nos jours heureux", une excellente comédie sur les colonies de vacances (on y retrouve au passage Omar Sy et Jean Benguigui).
Et aussi 2...
Samba, comme le dit lui-même le personnage dans le film (interprété par Omar Sy donc), c'est comme la danse... et moi cela me fait penser à cette musique et me remet de bonne humeur !
Les feuilles de l'automne sont revenues dans les rues (rime involontaire) ! Pour ceux qui sont en déperdition d'images de feuilles mortes jonchant les allées, je vous recommande l'excellent moteur de recherche google qui vous en proposera des milliers (au minimum) ! J'adore ce bruit grinçant qu'elles font lorsque mes pieds les font glisser de quelques centimètres. Mais à la fois, elles sont aussi le sujet de ma petite hantise lorsque je vais faire mon footing; j'ai dû me rééquilibrer à plusieurs reprises pour ne pas tomber (comme je vais à une plutôt bonne allure, oui à partir de 15km/h, on peut considérer cela bon, à mon humble avis). Mais bon, on ne peut pas demander aux feuilles de ne pas être glissantes... et on ne peut pas non plus demander à ce qu'elles soient ramassées... autant se réjouir du bonheur qu'elles apportent lors de la marche et se convaincre que les frayeurs qu'elles nous apportent lors de la course sont bénéfiques pour améliorer l'équilibre, les relances, etc. C'est cela d'être d'être positiviste...
La pluie entre octobre et décembre est lourde, parce que... l'eau tonne !
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Rêves
(je m'excuse, par avance, pour les torticolis que cette image va provoquer)
J'ignore totalement pourquoi elle s'affiche de travers, peut-être ose-t-elle me défier ? Dans tous les cas, cette publicité à l'arrêt de bus m'a remis sur pied... enfin quelqu'un qui pense comme moi ! Seulement, c'était pour une marque de jeans à 50€, je l'ai un peu en travers de la gorge là pour le coup... nous n'avons ni les mêmes rêves, ni les mêmes valeurs je crois. Chacun suit son rêve dans son coin alors ? Du moment qu'on ne se décourage pas, moi cela me va ! Mais je trouve cela très enrichissant de faire partager cette passion, cette réalisation que tu es en train de confectionner, car seul, tu y apportes peu finalement à ta création, si ce n'est qu'un bout d'imagination que tu penses innovante ! Enfin, c'est ce que j'en dis...
En parlant de rêve : le mien serait de créer une association qui vienne en aide dans un pays africain, avec une proposition de l'approche éducative totalement différente et qui soit un mix de notre système occidental (amélioré) et de la culture du pays... cela demande des âmes volontaires et entièrement dévouées, quelques financements assez conséquents, mais lorsqu'on verrait le résultat, on pourrait créer quelque chose de magique (en tout cas cela l'est dans ma tête). Nous en reparlons d'ici trente ans ? [j'espère que d'autres personnes sont sur le sujet... (et selon mes souvenirs, oui, car il est proposé au Kenya une école à 4 dollars à peine par mois et de qualité)].
Et aussi...
Je vous fait part d'une phrase qui m'a marquée en ouvrant un livre et en le feuilletant (à propos du rêve évidemment) : "Suis-je le rêve de ce monde immobile ?". Je n'ai en mémoire ni l'auteur, ni le livre; mais si je le retrouve, je le partagerais (c'est un livre très fin).