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  • La stupidité

    "L'intelligence artificielle n'est rien comparée à la stupidité naturelle." Thomas Edison

  • Pour ceux qui suivent...

    Ce matin, c'était le GRAND jour... enfin non, c'était une matinée comme les autres... On m'a déposé à 8 heures tandis que l'examen ne commançait qu'à dix, après une bonne heure de montée d'adrénaline, on nous a enfin donné nos télécommandes. Oui, parce que de nos jours, on zappe les questions ! Enfin symboliquement, car devant l'écran de cinq mètres, la voix fluette qui nous prend pour des imbélices à parler à trois mots par heure et une attention décupler par le stress, je ne pense pas qu'il soit possible de rater une seule question. Enfin bref, tout ça pour un petit "favorable" collé sur mon dossier. Allez hop, ça c'est fait. Quel est le prochain examen ? Le permis ? Outch, bah non, en fait je suis pas pressé...

    En retournant à la bibliothèque (j'y vais pas souvent car la grande ville est éloignée, et dans celle de mon village, ben... on a beau faire trois fois le tour de la bibliothèque, on trouve jamais ce qu'on cherche), j'ai encore été attiré par les livres de philosophie. J'en ai ouvert un, deux, puis trois, par curiosité. Cela m'a davantage donné envie, plus que ce que j'avais déjà de découvrir cette matière, d'écouter mon futur professeur pendant huit heures par semaines et d'apprendre des notions, des citations; comprendre comment le monde des idées s'organise, pour organiser les miennes, canaliser le flux inhérant, incessant.

    Première médaille d'or pour la France aux Jeux Paralympiques, en natation !

  • Une attente (in)soutenable

    Ce midi, mon père m'apelle : "Tu as vu pour les cars ?" "Euh, non, je pensais à le faire", "Tu as vu ton itinéraire et tout ?". Quoi ? Parce qu'en plus il faut que ce soit difficile de trouver le centre d'examen ? Demain, 10 heures, je serais dans une salle, confronté à 40 questions que j'imagine "pièges". Des questions qui détermineront si je suis apte à devenir un bon conducteur... Mais avant cela, il reste encore 11 heures de patience. Je ne sais pas si cel vous est arrivé mais moi cela m'arrive souvent de compter le nombre d'heures, puis de minutes et même souvent les secondes avant l'"instant T". Ce moment que vous attendiez depuis plusieurs mois et qui se présente enfin, qui se rapproche à si peu d'emcablures, qu'il commence à vous effrayer, à vous stresser. Vais-je l'avoir ? Et si je le ratais ? Cela m'ennuierait de payer à nouveau pour le repasser : 70 €, ils en font quoi de mon argent, sérieux ? 70 €, je n'ose même pas m'imaginer le nombre de livres, de vêtements ou de choses utiles que je me serais acheté avec.

    Je me suis beaucoup préparé pour être prêt, je pensais l'être lorsque j'ai proposé une date, et maintenant je doute de pouvoir le réussir. Un homme qui doute, c'est un homme intelligents qu'ils disaient; j'espère que cela se confirmera lorsque j'aurais cette réponse qu'il faudra attendre, encore attendre, toujours attendre. Déjà pour les épreuves anticipées il m'avait fallu deux semaines d'attente, pour des résultats médiocres, beaucoup plus bas que mes espérances. Et là je me dis ça peut se jouer sur une question, sur un piège, sur quelques secondes d'inatention.

    Qui dit que je stresse ? Moi, non jamais, même pour l'oral de français je n'ai ps stressé. "Surtout ne stresse pas" qu'il me disait mon père. Ah ça y est, à présent je stresse, tu pouvais pas t'empêcher de me remarquer quelque chose qui n'est pas vrai. "Pourquoi tu es à une heure si tardive, sur ton cd du code de la route ?". Euh non, c'est rien, c'est juste pour vérifier mes connaissances...

    Il me reste toujours à vérifier les bus, si je veux rentrer...

    Allez, dis-toi qu'une seconde chance t'es permise, que si vraiment tu échoues à 6 ou 7 fautes, un bon mois de révision et quelques nouvelles doses d'adrénalises te permettront de l'avoir. Regardez les messages sur les forums et voir que certains trouvent l'examen plus facile que les séances, d'autres plus dur... Se demander qui a raison, puis trancher qu'il y en a davantage qui pensent qu'il est plus facile. Petite pensée positive, si je réussis, je vais entièrement pouvoir me consacrer au bac... ah non, faux, les heures de conduites arrivent en octobre ! Damned, pourquoi si vite ? Parce que tu l'as voulus ! Ah oui, c'est vrai ! Bon bah, j'ai plus qu'à me souhaite bonne chance et espérer que la chance, le talent (lequel ?), et le fruit de mon travail (j'allais aussi mettre lequel mais je crois l'avoir trouvé), seront réunis demain autour de mon boitier.

  • La bêtise humaine

    "Deux choses sont infinies : l’Univers et la bêtise humaine. Mais, en ce qui concerne l’Univers, je n’en ai pas encore acquis la certitude absolue."                            Albert Einstein - 1879-1955

    Tandis que les Jeux paralympiques débuteront demain, 29 août, et se dérouleront jusqu'au 9 septembre à Londres, la BBC révèle une information très étonnante sur ces athlètes handicapés qui n'hésiteraient pas pour certains, à s'automutiler pour "bénéficier des conséquences naturelles de guérisons et booster leurs performances". C'est fort dommage de commencer (ce sont des pratiques relativement récentes dues à la prise d'importance de ces JO, souvent délaissés) au stade où les Jeux Paralympiques prenaient une nouvelle dimension puisque beaucoup de sports verront leurs épreuves se dérouler à guichets fermés ! Quelques chose d'entièrement nouveau et unique depuis la création des Jeux Paralympiques. On connaissait déjà les athlètes qui trichaient en se faisant passer pour des handicapés (par exemple, l'équipe espagnole de basketball pour handicapés mentaux a remporté le titre à Atlanta en 1996; seulement, 10 des 11 joueurs se révélaient être totalement sains; ils n'avaient pas passer le test de QI qu'ils étaient censés réaliser). Cet exemple n'est pas un cas isolé et parfois les tricheurs sont assez peu "finots", comme cette russe aux JO d’hiver de Turin en 2006, qui sur l'épreuve de cross-country avait explosé de joie en voyant son temps inscrit sur le tableau d’affichage; seul problème, elle était censée être malvoyante… Ou encore cette cycliste qui remportait deux médailles d'argent à Pékin en 2008 puis dit avoir miraculeusement guéri avant d'annoncer avoir été valide au moment des performances. Je ne multiplierais pas les exemples qui m'horripilent tout autant que le dopage que ce soit chez les valides ou les invalides.

    Tricher est malheureusement devenu un fléau, partout, pour quiconque et s'agrandissant en même temps que la reconnaissance pour ces athlètes invalides se fait. D'un côté on commence à reconnaître leur force mentale, leur persévérance, leur souffrance au quotidien, leur "niac"; et d'un autre, ils commettent les mêmes erreurs que les valides en prenant des substances dangereuses pour la santé et qui permettront jamais une fierté de sa victoire. L'homme sain n'est pas un exemple dans le sens où il est innocent, inconscient de la douleur, de la dangerosité de tel ou tel acte et ainsi n'a aucun expérience de ce qu'on appelle "vivre". Un athlète valide en athlétisme a tenu cette phrase très belle que j'ai retenue tellement elle caractérisait bien cet état d'esprit : "C'est dans la souffrance que l'on apprend". Alors je n'espère pas qu'il vous arrivera des mésaventures, mais si malheureusement, cela venait à se produire ou à s'être produit, ne suivez pas les conseils ou l'exemple de quelqu'un qui n'a pas votre handicap que ce soit physique ou émotionnel (je pense à la timidité, à l'angoisse, le stress) , cette barrière franchissable seulement par votre volonté et votre expérience.

    Je suis très reconnaissant à France Télévisions d'avoir déprogrammer des émissions pour retransmettre quelques heures de la compétition et espère dans quatre ans, regarder quelques heures en direct les performances de ces athlètes qui méritent tout autant que les Jeux Olympiques, d'être vus, compris, entendus, reçus et aimés. Bonne chance à notre délégation française !

  • Arnaud Tsamère

    Je ne comprends pas pourquoi je ne lui ai pas consacré une note plus tôt... il me fait tant rire depuis près d'un an et demi que je ne peux pas concevoir qu'une personne n'ait pas écouté au moins une fois son univers si absurde et si drôle ! Je ne me lasse vraiment pas de voir et revoir ses sketchs (il en a fait une soixantaine). Il a une "manie" assez drôle de faire des phrases très longues et de dire qu'il ne sait plus quel était le début de sa phrase ou encore de revenir incessamment sur un sujet qu'il voulait laisser de côté, mais qu'il reprend tout de même plusieurs fois [je crois que cela vous sera plus compréhensible en regardant par exemple son sketch sur le Rubik's cube (exemple entre 1'57''et 3'15'' par exemple)].

    Voici un sketch qui caractérise à merveille son humour :

    Dans celui-ci aussi, il reprend tous les codes principaux de son humour (même s'il est un peu moins drôle que le sketch du dessus) :


  • De retour

    Toute bonne chose a une fin, et mon séjour en Espagne a -(mal)heureusement- la sienne. Cette fin signe le départ, je ne dirais pas d'une nouvelle vie car ce serait mensonge que de le dire, mais tout au moins d'une dirrection réajustée. Par ailleurs, beaucoup de notes en prévision, j'espère un peu plus riches en informations et en divertissements, sans prise de tête. J'ai l'impression de tomber dans le message type d'une nouvelle année en annoncant des résolutions qui ne se tiendront peut être pas (ce que je ne me souhaite pas, et pour moi, et pour vous)... Je vous rassure pour ceux qui ne sont pas fans du monde hispanophone, j'ai beaucoup de choses différentes à raconter, j'espère toutes aussi passionantes.

    Merci à tous ceux qui me suivent et me font confiance !

  • De vacancias en La Rambla

    Cela fait un moment que je nai pas ecrit de note et ce nest pas pour vous faire rager mais je profite du soleil et du repos de landalousie !

    Tout cela pour vous dire que si vous desirez vous ameliorer en espagnol, rien de mieux quune immersion dans un pays hispanophone... bien sur, ce nest pas donne a tout le monde et jai conscience de la chance que jai.

    Il y a deja une annee, en a peine deux mois, 71 episodes repartis en 7 saisons defilaient sous mes yeux avec une certaine tension, un suspense intenable qui te donne envie de voir la suite dans la foulee. "El internado" est probablement la meilleure serie espagnole de tous les temps. Cest vraiment une serie que je vous recommande que ce soit pour les nuls, les en cours dapprentissage ou les plus experimentes. Les personnages parlent je ne dirais pas lentement mais leur voix est posee et ainsi les mots sont beaucoup plus simples a distinguer.

    Maintenant je vais attendre mon retour en France pour ajouter a cette note les accents qui se sont perdus, cela me fait penser a un roman dErik Orsenna...

  • Fais pas ci, fais pas ça : extraordinairement bien !

     

    Non, ce n'est pas exagéré (voilà, ça c'est clair !). Il faut être réaliste dans la vie, et là pour le coup, je n'ai jamais mieux réalisé que cette série était (comment dire ?) : Géniale ! Je sais je suis peut être le gros paumé qui arrive toujours trois années (voire davantage) après que le succès est été mit au jour, mais ce n'est que pour mieux en saisir le talent, la force de l'oeuvre. Je vais vous citer LA référence, par exemple, je n'ai lu Harry Potter que 7 ou 8 ans après son véritable "carton"... En revanche, cela ne veut pas dire que je lirais bientôt des histoires de vampires (n'en déplaise aux fans de Robert Pattinson).

    Pour en revenir à la série, c'est beaucoup plus que vous ne pouvez espérer d'une série française, parce que oui elle est française celle-ci (enfin une !). Bon, après elle nous a été volée par les américains "Modern Family", qui ont fait mine de refuser le scénario qu'on leur a proposé puis ont détourné quelque peu celui-ci pour le mettre à leur sauce (pff, ça me dégoûte, pour une fois qu'on tenait une bonne série). C'est un petit format (42 minutes la première saison, puis 52 pour les autres) familial, bourré de situations loufoques, drôles et surtout, réalistes. Malgré quelques incohérences dans l'écriture, c'est un excellent divertissement avec un générique presque culte que je ne vais pas pouvoir m'empêché de poster... Avec un "à taaaaableee", toujours aussi hilarant.

    Voici le synopsis fournit par allociné : Deux familles voisines, incarnant deux méthodes d'éducation opposées, sont filmées dans leur quotidien, pendant plusieurs mois, avec leurs enfants. D'un côté Denis et Valérie Bouley incarnent un couple qui refuse le modèle autoritaire de leurs parents ; ils ont construit ensemble une famille recomposée. De l'autre côté, Renaud et Fabienne Lepic, persuadés que les problèmes de la jeunesse actuelle sont essentiellement dus à la démission des parents, prônent un retour au mode d'éducation stricte qu'ils ont reçue et l'appliquent à leurs quatre enfants. Des parents qui font de leur mieux avec leur bonne volonté, leurs contradictions et leurs doutes... Mais des parents qui, s'ils étaient notés comme le sont les enfants, écoperaient sans aucun doute de la mention consacrée : "Peut mieux faire" !

    Une 5ème saison est en cours de production et un film est envisagé (on arrête pas les succès si facilement). Alors, ce n'est peut être pas la série qui fera des milliers d'épisodes mais au moins, elle en compte déjà 42 de très très bonne qualité, toutes aussi drôles les unes que les autres : un véritable coup de coeur. A regarder, sans modération.

     


     
  • Omnibus... ou l'art de réinventer les court-métrages !

    C'est un véritable coup de coeur que ce court métrage que j'ai découvert ce matin et que je tenais absolument à vous faire partager, car ... (bon j'arrete ma phrase ici pour vous faire souffler). 8 minutes d'exception, enfin dix secondes mais ces dix secondes font que tout devient exceptionnel, car le dénouement rend tout ce qu'il y a avant génial, déjà que le jeu était superbe. Réalisé par Sam Karmann en 1992 "Omnibus" a reçu la même année la palme d'or du court-métrage au Festival de Cannes et en 1993 l'Oscar du meilleur court-métrage de fiction. 

  • «Psychatrique quoi, psychatrique qui ?...

     …vous, vous êtes qui ?» Je pourrais pousser la chansonnette plus loin mais ce n'est pas mon style de musique, ni mon style de chanter à tue-tête des paroles peu réjouissantes. Pour ceux qui ne connaissent pas Kamini, je les invite à écouter «Chevalier» (histoire de vous faire une petite idée). On aime ou on n'aime pas, mais je trouve ses chansons très engagées et aujourd'hui je ne vais pas vous parler de ses textes mais des mots qui commencent par «psy» (bah oui fallait bien trouver une illustration, une comparaison qui tienne la route !).

    Psychique : qui concerne l'esprit, la pensée

    Psychatrie : Partie de la médecine qui concerne l'étude et le traitement des maladies mentales, des troubles psychiques.

    Psychologie : étude scientifique des faits psychiques OU connaissance empirique des sentiments, de la conduite d'autrui OU mentalité, état d'esprit

    Physique : apparence, aspect extérieur d'une personne (Entre nous, mieux vaut un physique gras qu'un ingrat ! C'était une blague tu tentais de leur faire là ?)

    Physiologique : qui a rapport auy fonctionnement d'un organisme ou d'un organe Physionomie : Ensemble des traits, des caractères qui donnent au visage une expression particulière.

    Psychopathe : Malade mental. Ah, à propose, avez-vous fait un tour sur le blog de ma confrère "psychopathe à la hache", n'hésitez pas elle n'offre pas de coups (c'est une promotion "spécial nouveaux") : http://journald-unepsycopathealahache.hautetfort.com/

    Psychanalyse : Technique de psychothérapie (traitement basé sur les méthodes psychologiques) fondée sur les théories de Freud.

    Maintenant, oserez-vous confondre à nouveau ces différents termes ? En tout cas, si vous avez une hésistation, n'hésitez pas à remettre le nez dans ces définitions... car rien ne vaut un mot bien utilisé que dix mal employés.