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Ce matin, c'était le GRAND jour... enfin non, c'était une matinée comme les autres... On m'a déposé à 8 heures tandis que l'examen ne commançait qu'à dix, après une bonne heure de montée d'adrénaline, on nous a enfin donné nos télécommandes. Oui, parce que de nos jours, on zappe les questions ! Enfin symboliquement, car devant l'écran de cinq mètres, la voix fluette qui nous prend pour des imbélices à parler à trois mots par heure et une attention décupler par le stress, je ne pense pas qu'il soit possible de rater une seule question. Enfin bref, tout ça pour un petit "favorable" collé sur mon dossier. Allez hop, ça c'est fait. Quel est le prochain examen ? Le permis ? Outch, bah non, en fait je suis pas pressé...
En retournant à la bibliothèque (j'y vais pas souvent car la grande ville est éloignée, et dans celle de mon village, ben... on a beau faire trois fois le tour de la bibliothèque, on trouve jamais ce qu'on cherche), j'ai encore été attiré par les livres de philosophie. J'en ai ouvert un, deux, puis trois, par curiosité. Cela m'a davantage donné envie, plus que ce que j'avais déjà de découvrir cette matière, d'écouter mon futur professeur pendant huit heures par semaines et d'apprendre des notions, des citations; comprendre comment le monde des idées s'organise, pour organiser les miennes, canaliser le flux inhérant, incessant.
Première médaille d'or pour la France aux Jeux Paralympiques, en natation !
Ce midi, mon père m'apelle : "Tu as vu pour les cars ?" "Euh, non, je pensais à le faire", "Tu as vu ton itinéraire et tout ?". Quoi ? Parce qu'en plus il faut que ce soit difficile de trouver le centre d'examen ? Demain, 10 heures, je serais dans une salle, confronté à 40 questions que j'imagine "pièges". Des questions qui détermineront si je suis apte à devenir un bon conducteur... Mais avant cela, il reste encore 11 heures de patience. Je ne sais pas si cel vous est arrivé mais moi cela m'arrive souvent de compter le nombre d'heures, puis de minutes et même souvent les secondes avant l'"instant T". Ce moment que vous attendiez depuis plusieurs mois et qui se présente enfin, qui se rapproche à si peu d'emcablures, qu'il commence à vous effrayer, à vous stresser. Vais-je l'avoir ? Et si je le ratais ? Cela m'ennuierait de payer à nouveau pour le repasser : 70 €, ils en font quoi de mon argent, sérieux ? 70 €, je n'ose même pas m'imaginer le nombre de livres, de vêtements ou de choses utiles que je me serais acheté avec.
Je me suis beaucoup préparé pour être prêt, je pensais l'être lorsque j'ai proposé une date, et maintenant je doute de pouvoir le réussir. Un homme qui doute, c'est un homme intelligents qu'ils disaient; j'espère que cela se confirmera lorsque j'aurais cette réponse qu'il faudra attendre, encore attendre, toujours attendre. Déjà pour les épreuves anticipées il m'avait fallu deux semaines d'attente, pour des résultats médiocres, beaucoup plus bas que mes espérances. Et là je me dis ça peut se jouer sur une question, sur un piège, sur quelques secondes d'inatention.
Qui dit que je stresse ? Moi, non jamais, même pour l'oral de français je n'ai ps stressé. "Surtout ne stresse pas" qu'il me disait mon père. Ah ça y est, à présent je stresse, tu pouvais pas t'empêcher de me remarquer quelque chose qui n'est pas vrai. "Pourquoi tu es à une heure si tardive, sur ton cd du code de la route ?". Euh non, c'est rien, c'est juste pour vérifier mes connaissances...
Il me reste toujours à vérifier les bus, si je veux rentrer...
Allez, dis-toi qu'une seconde chance t'es permise, que si vraiment tu échoues à 6 ou 7 fautes, un bon mois de révision et quelques nouvelles doses d'adrénalises te permettront de l'avoir. Regardez les messages sur les forums et voir que certains trouvent l'examen plus facile que les séances, d'autres plus dur... Se demander qui a raison, puis trancher qu'il y en a davantage qui pensent qu'il est plus facile. Petite pensée positive, si je réussis, je vais entièrement pouvoir me consacrer au bac... ah non, faux, les heures de conduites arrivent en octobre ! Damned, pourquoi si vite ? Parce que tu l'as voulus ! Ah oui, c'est vrai ! Bon bah, j'ai plus qu'à me souhaite bonne chance et espérer que la chance, le talent (lequel ?), et le fruit de mon travail (j'allais aussi mettre lequel mais je crois l'avoir trouvé), seront réunis demain autour de mon boitier.
"Deux choses sont infinies : l’Univers et la bêtise humaine. Mais, en ce qui concerne l’Univers, je n’en ai pas encore acquis la certitude absolue." Albert Einstein - 1879-1955
Tandis que les Jeux paralympiques débuteront demain, 29 août, et se dérouleront jusqu'au 9 septembre à Londres, la BBC révèle une information très étonnante sur ces athlètes handicapés qui n'hésiteraient pas pour certains, à s'automutiler pour "bénéficier des conséquences naturelles de guérisons et booster leurs performances". C'est fort dommage de commencer (ce sont des pratiques relativement récentes dues à la prise d'importance de ces JO, souvent délaissés) au stade où les Jeux Paralympiques prenaient une nouvelle dimension puisque beaucoup de sports verront leurs épreuves se dérouler à guichets fermés ! Quelques chose d'entièrement nouveau et unique depuis la création des Jeux Paralympiques. On connaissait déjà les athlètes qui trichaient en se faisant passer pour des handicapés (par exemple, l'équipe espagnole de basketball pour handicapés mentaux a remporté le titre à Atlanta en 1996; seulement, 10 des 11 joueurs se révélaient être totalement sains; ils n'avaient pas passer le test de QI qu'ils étaient censés réaliser). Cet exemple n'est pas un cas isolé et parfois les tricheurs sont assez peu "finots", comme cette russe aux JO d’hiver de Turin en 2006, qui sur l'épreuve de cross-country avait explosé de joie en voyant son temps inscrit sur le tableau d’affichage; seul problème, elle était censée être malvoyante… Ou encore cette cycliste qui remportait deux médailles d'argent à Pékin en 2008 puis dit avoir miraculeusement guéri avant d'annoncer avoir été valide au moment des performances. Je ne multiplierais pas les exemples qui m'horripilent tout autant que le dopage que ce soit chez les valides ou les invalides.
Tricher est malheureusement devenu un fléau, partout, pour quiconque et s'agrandissant en même temps que la reconnaissance pour ces athlètes invalides se fait. D'un côté on commence à reconnaître leur force mentale, leur persévérance, leur souffrance au quotidien, leur "niac"; et d'un autre, ils commettent les mêmes erreurs que les valides en prenant des substances dangereuses pour la santé et qui permettront jamais une fierté de sa victoire. L'homme sain n'est pas un exemple dans le sens où il est innocent, inconscient de la douleur, de la dangerosité de tel ou tel acte et ainsi n'a aucun expérience de ce qu'on appelle "vivre". Un athlète valide en athlétisme a tenu cette phrase très belle que j'ai retenue tellement elle caractérisait bien cet état d'esprit : "C'est dans la souffrance que l'on apprend". Alors je n'espère pas qu'il vous arrivera des mésaventures, mais si malheureusement, cela venait à se produire ou à s'être produit, ne suivez pas les conseils ou l'exemple de quelqu'un qui n'a pas votre handicap que ce soit physique ou émotionnel (je pense à la timidité, à l'angoisse, le stress) , cette barrière franchissable seulement par votre volonté et votre expérience.
Je suis très reconnaissant à France Télévisions d'avoir déprogrammer des émissions pour retransmettre quelques heures de la compétition et espère dans quatre ans, regarder quelques heures en direct les performances de ces athlètes qui méritent tout autant que les Jeux Olympiques, d'être vus, compris, entendus, reçus et aimés. Bonne chance à notre délégation française !
Je ne comprends pas pourquoi je ne lui ai pas consacré une note plus tôt... il me fait tant rire depuis près d'un an et demi que je ne peux pas concevoir qu'une personne n'ait pas écouté au moins une fois son univers si absurde et si drôle ! Je ne me lasse vraiment pas de voir et revoir ses sketchs (il en a fait une soixantaine). Il a une "manie" assez drôle de faire des phrases très longues et de dire qu'il ne sait plus quel était le début de sa phrase ou encore de revenir incessamment sur un sujet qu'il voulait laisser de côté, mais qu'il reprend tout de même plusieurs fois [je crois que cela vous sera plus compréhensible en regardant par exemple son sketch sur le Rubik's cube (exemple entre 1'57''et 3'15'' par exemple)].
Voici un sketch qui caractérise à merveille son humour :
Dans celui-ci aussi, il reprend tous les codes principaux de son humour (même s'il est un peu moins drôle que le sketch du dessus) :
Toute bonne chose a une fin, et mon séjour en Espagne a -(mal)heureusement- la sienne. Cette fin signe le départ, je ne dirais pas d'une nouvelle vie car ce serait mensonge que de le dire, mais tout au moins d'une dirrection réajustée. Par ailleurs, beaucoup de notes en prévision, j'espère un peu plus riches en informations et en divertissements, sans prise de tête. J'ai l'impression de tomber dans le message type d'une nouvelle année en annoncant des résolutions qui ne se tiendront peut être pas (ce que je ne me souhaite pas, et pour moi, et pour vous)... Je vous rassure pour ceux qui ne sont pas fans du monde hispanophone, j'ai beaucoup de choses différentes à raconter, j'espère toutes aussi passionantes.
Merci à tous ceux qui me suivent et me font confiance !
Cela fait un moment que je nai pas ecrit de note et ce nest pas pour vous faire rager mais je profite du soleil et du repos de landalousie !
Tout cela pour vous dire que si vous desirez vous ameliorer en espagnol, rien de mieux quune immersion dans un pays hispanophone... bien sur, ce nest pas donne a tout le monde et jai conscience de la chance que jai.
Il y a deja une annee, en a peine deux mois, 71 episodes repartis en 7 saisons defilaient sous mes yeux avec une certaine tension, un suspense intenable qui te donne envie de voir la suite dans la foulee. "El internado" est probablement la meilleure serie espagnole de tous les temps. Cest vraiment une serie que je vous recommande que ce soit pour les nuls, les en cours dapprentissage ou les plus experimentes. Les personnages parlent je ne dirais pas lentement mais leur voix est posee et ainsi les mots sont beaucoup plus simples a distinguer.
Maintenant je vais attendre mon retour en France pour ajouter a cette note les accents qui se sont perdus, cela me fait penser a un roman dErik Orsenna...
Non, ce n'est pas exagéré (voilà, ça c'est clair !). Il faut être réaliste dans la vie, et là pour le coup, je n'ai jamais mieux réalisé que cette série était (comment dire ?) : Géniale ! Je sais je suis peut être le gros paumé qui arrive toujours trois années (voire davantage) après que le succès est été mit au jour, mais ce n'est que pour mieux en saisir le talent, la force de l'oeuvre. Je vais vous citer LA référence, par exemple, je n'ai lu Harry Potter que 7 ou 8 ans après son véritable "carton"... En revanche, cela ne veut pas dire que je lirais bientôt des histoires de vampires (n'en déplaise aux fans de Robert Pattinson).
Pour en revenir à la série, c'est beaucoup plus que vous ne pouvez espérer d'une série française, parce que oui elle est française celle-ci (enfin une !). Bon, après elle nous a été volée par les américains "Modern Family", qui ont fait mine de refuser le scénario qu'on leur a proposé puis ont détourné quelque peu celui-ci pour le mettre à leur sauce (pff, ça me dégoûte, pour une fois qu'on tenait une bonne série). C'est un petit format (42 minutes la première saison, puis 52 pour les autres) familial, bourré de situations loufoques, drôles et surtout, réalistes. Malgré quelques incohérences dans l'écriture, c'est un excellent divertissement avec un générique presque culte que je ne vais pas pouvoir m'empêché de poster... Avec un "à taaaaableee", toujours aussi hilarant.
Voici le synopsis fournit par allociné : Deux familles voisines, incarnant deux méthodes d'éducation opposées, sont filmées dans leur quotidien, pendant plusieurs mois, avec leurs enfants. D'un côté Denis et Valérie Bouley incarnent un couple qui refuse le modèle autoritaire de leurs parents ; ils ont construit ensemble une famille recomposée. De l'autre côté, Renaud et Fabienne Lepic, persuadés que les problèmes de la jeunesse actuelle sont essentiellement dus à la démission des parents, prônent un retour au mode d'éducation stricte qu'ils ont reçue et l'appliquent à leurs quatre enfants. Des parents qui font de leur mieux avec leur bonne volonté, leurs contradictions et leurs doutes... Mais des parents qui, s'ils étaient notés comme le sont les enfants, écoperaient sans aucun doute de la mention consacrée : "Peut mieux faire" !
Une 5ème saison est en cours de production et un film est envisagé (on arrête pas les succès si facilement). Alors, ce n'est peut être pas la série qui fera des milliers d'épisodes mais au moins, elle en compte déjà 42 de très très bonne qualité, toutes aussi drôles les unes que les autres : un véritable coup de coeur. A regarder, sans modération.
La vie est parfois un long couloir étroit. L'étroitesse de cette ruelle démontre que tout n'est pas immense, que tout n'est pas gigantisme dans ce monde, que tout n'est pas GRAND. Grand, ce mot qui veut beaucoup dire, sans jamais faire comprendre précisément sa valeur. Qu'est-ce qui est grand ? Qu'est-ce qui est beau ? Le gigantisme des tours de huit-cent mètres ou le charme de cette petite ruelle qui mène nulle part. Mais qu'importe ! Qu'importe si elle ne rejoint pas Rome puisque elle est si jolie, tellement jolie qu'on ne résiste pas à l'envie de la prendre en photo, de l'immortaliser parce qu'elle pourrait bien un jour être écrasée. Moi j'y suis passé, j'ai eu cet honneur ! En l'empruntant je l'ai remerciée pour sa contribution à nos yeux, yeux ébahis devant tant d'éloquence. Alors oui j'ai vécu ce moment, je m'en vante et ainsi, je lui fais un mémoire car une cause ne s'arrête jamais si elle est encore demandée. Elle l'est alors ne négligeons pas son existence et partageons cette belle photo qui semble mener vers une étendue un peu plus grande, si ce n'est immense... et également... de toute beauté !
Ce matin, je me suis réveillé inconscient de ce qu'il se passait hors de chez moi. En effet, les soldes avaient commencées et je n'en étais même pas encore informé ! Pardonnez-moi de dire cela, mais je hais cette période... Elle n'a aucune signification pour moi. Ce sont juste des vendeurs qui veulent écouler leurs stocks restants de l'année en un temps record, et qui, pour parvenir à leurs fins, font croire à leurs consommateurs qu'ils baissent considérablement leurs prix... alors qu'il n'en est rien. Et cela fonctionne (!)... de moins en moins. Mesdames et messieurs les vendeurs; nous ne sommes pas dupes. C'est comme mettre un bon permettant un menu offert pour un menu payé, MAIS (parce qu'il faut toujours remplir plusieurs conditions avant d'enfin obtenir une misérable récompense) valable seulement la nuit... quel intérêt lorsqu'on veut faire ses courses en même temps (les magasins sont fermés) ?
Pour moi, faire les magasins c'est comme être forcé de manger quelque chose qui me paraît immangeable (les escargots ou les huîtres à tout hasard !)... c'est horrible ! Je me sens si oppréssé, mon cerveau chauffe tellement en sentant cette chaleur humaine envoyer tant d'ondes négatives, tant de stress qu'elle répend au moindre instant. Tous à l'affut des petits prix, tous à l'affut d'un achat économique et pratique, renoncant sans vergogne à leur politesse et cordialité. Qu'est-ce que cela coûte de patienter deux minutes près des cabines d'essayage plutôt que de s'énerver, pousser un soufflement et partir continuer ses achats ? Un peu de bon sens s'il vous plaît. Vous préférez avoir de la place pour davantage de vêtements, ou davantage de cabines pour un nombre de vêtements restreint ?
Jounal d'une psychopathe blog : si je n'irais pas jusqu'à conseiller de lire son roman (que je rêverais et que j'aurais, parce que j'ai l'intime conviction que je vais tout faire pour, le plaisir de lire un jour) parce que je ne suis pas du genre à imposer des lectures, je vous recommande tout de même fortement le détour sur son blog qui vous livre tant de pépites littéraires que vous en succombez presque (à sa hache). Une ambiance qui joue tour à tour entre, obscurité, cynisme, drôleries, critiques... Je vous conseille de remonter à ses débuts puisque qu'il est toujours bien de commencer par le début (il n'y a guère que les mangas pour me contredire et en même temps confirmer la règle ) et de se plonger dans son univers morbide... et cynique à outrance ! Ne vous inquiétez pas, ceux qui ne sont pas fana de noirceur y trouveront également leur compte car pour dire vrai, je n'en suis pas du tout demandeur, et pourtant, le sien vous est si bien livré que vous ne résister pas à continuer votre lecture, à faire défiler les notes, pages après pages, en se demandant toujours comment l'auteure fait pour innover tout en traitant les mêmes thèmes. Ce blog mêle autobiographie et invention, d'une "blogueuse" à la fois emprunte de vie, située entre deux mondes, psycopathe (c'est quand même dans le titre de son blog), cynique et surtout, pessimiste ! Je crois avoir assez fait le tour et définit les nouvelles, les notes qu'elle vous propose, alors je vous souhaite une bonne visite pour ceux qui oseront y accorder quelques minutes (voire plus, parce qu'elle le mérite) : http://journald-unepsycopathealahache.hautetfort.com/
J'ai beaucoup écouté aujourd'hui, , une fois de plus, de la musique espagnole. Une musique que j'aime (je crois l'avoir déjà dit mais je le redis parce que je suis têtu) avec des paroles ! Pour ceux qui aimeraient améliorer leur espagnol, rien de mieux que d'écouter un peu de musique entraînante, envoûtante et de lire les paroles, d'apprendre la chanson sans s'en apercevoir en écoutant en boucle des chansons. Une partie de plaisir pour une amélioration certaine !
Juanes - La Camisa Negra (des paroles magnifiques, c'est inévitablement celles que je préfère) :
Mala vida - Mano negra (davantage pour le côté musical très entraînant) :
Sinon, je voulais porter une mention spéciale (un toast aussi !) pour les françaises qui "ont cartonné" en ce samedi 28 juillet 2012 aux Jeux Olympiques, que ce soit en football, en basketball ou en handball. Les premières se sont offertes le luxe de s'imposer 5-0 face aux Nord-Coréennes. Elles resent en lice, donc, pour une médaille ! En basketball, les françaises ont battues les brésiliennes avec un score de 73 à 58. Et enfin en handball, les françaises sont victorieuses sur le fil face aux norvégiennes en l'emportant avec 24 buts contre 23. Les handballeuses ont fait une superbe première mi-temps et ont un peu plus encaisser en sseconde mais le principal est d'avoir réussit ce match et de gagner en confiance pour les prochaines. Une super journée, donc, pour ces trois équipes qui on l'espère iront loin dans la compétition !
Enfin je voulais terminer cette note, qui je viens de me rendre compte est très longue par rapport à d'habiiude, en poussant un coup de gueule contre X, soit contre la plateforme de laisser un temps imparti avant d'automatiquement fermer une note, ou mes doigts d'avoir fait une mauvaise manip' et avoir du recommencer à trois reprises cette note. Finalement, je suis plutôt content que fâcher que d'avoir perdu tant de temps car sinon, ma note n'aurait pas été aussi riche. Moralité : même ce qui paraît mauvais du premier oeil, peut devenir bon, avec un peu de réflexion.
Grégoire a été l'un des plus grands de la chanson française. Ce que j'aime chez un chanteur, ce n'est pas tellement la personne derrière mais son interprétation, l'aura qui se dégage de sa voix, comment il nous transmet ces paroles. De préférence, la chanson sera à paroles, abouties, ayant des rimes à foison (car une rime est plaisante et démultiplie la portée du discours car elle attire l'oreille), et enfin, une dénonciation, un sujet actuel, une envie de changement. C'est pour tout ceci et un sentiment qui va au-delà que j'écoute à de multiples reprises une chanson et peu importe qui la chante. Alors pour une fois je fais l'effort d'écouter une reprise de la Star Académy : "Toi + moi" (il faut dire qu'il y à participer, mais il faut bien un début à tout...).